The Walking Dead
[THE WALKING DEAD] 409 : After
Salut la compagnie !
Ouais, je sais… Une revenante, que vous vous dites.
Mais qu’a-t-il bien pu arriver à La Sorcière ?? Well… life happened ! 😀
Allons, allons… vous savez ce que c’est.
Bon, en attendant, comme j’ai trois secondes devant moi, je me suis dit que je pourrais vous parler un peu de la série que j’ai le plus suivie ces derniers mois : celle de nos amis zombaïs.
En résumé :
– Des gens qu’on peut détester sans aucune retenue. (Non parce que les pauvres, OK, ils ne sont pas gâtés par la situation, mais qu’est-ce qu’ils sont cons !)
– Des sensations fortes. (Ah oui, ça, elles le furent.)
– Une intrigue somme toute pas trop difficile à suivre quand on est légèrement surmené comme c’est mon cas. (Non parce que j’ai pas trop la tête à regarder des trucs, en ce moment.)
– Une certaine distance avec la vie réelle. (Je vous avoue que mon inquiétude face à une possible invasion zombiesque est proche du néant.)
– Et des épisodes qu’on peut s’enquiller seul ou en plaisante compagnie sans craindre l’overdose… bref, c’est tout à fait bien, c’t’affaire-là !
– Sans parler du fait que comme vous le savez, le gore, bah ça ne me traumatise guère, au contraire, ça me fait gondoler d’importance. Hihihi, il a des asticots qui lui sortent du crâne !
Allez, sur ce, je vous retrouve after the jump pour causer un peu de cette reprise. Beware, my minions : SPOILEEEEERS !
J’vous raconte (Part 2 : The Walking Dead, saison 2)
Entre le Battlestar qui piaulait de terreur chaque fois que je zyeutais un épisode à la maison et le collègue du bureau qui louchait sur mon écran en faisant « êêêêh » quand je regardais ça en loucedé pendant ma pause, croyez-moi, ça n’a pas été facile de regarder The Walking Dead ces derniers mois !
Mais comme il se trouve que j’ai chopé un charmant virus hautement vomitif la semaine dernière et qu’il n’est plus utile de sortir sa majesté galactique à minuit (après avoir fait le plein de zombies, bof), je me suis dit que le moment était venu de mettre une bonne claque à cette adorable série.
D’autant que j’avais très envie d’un truc dégueu bien addictif.
Franchement, ces derniers temps, je manque de séries qui rendent drogué.
Vous m’avez collé Orphan Black dans les pattes, mais non, c’était pas assez. Je vous en recauserai à l’occase.
Là, j’ai l’impression tout à fait satisfaisante d’en avoir pour mon blé, je suis comblée. Cette saison 2 s’est parfaitement bien passée, elle m’a beaucoup plu malgré la concentration en têtes-à-claques.
Alors, si vous n’avez pas vu cette saison 2, je ne peux que vous conseiller de ne pas cliquer, ce pour deux raisons.
– Je spoile à mort. Et dans cette série, y a du macchab’ de premier ordre en veux-tu en voilà. Genre, je ne compte plus les regrettés personnages principaux qui nous quittent les pieds devant. Donc si vous cliquez, faudra pas venir vous plaindre !
– Ensuite, si vous avez la tripe un peu sensible, que la vue du sang vous colle des faiblesses dans les genoux et que les gros plans sur les zombies au crâne éclaté vous font aligner les petits chiens, évitez. Ce n’est pas la première chose qui m’intéresse dans cette série, mais moi, j’avoue, ça me fait marrer. Alors j’en mets un peu. Hé hé hé.
Allez les courageux, on se retrouve after the jump ! 🙂