520 : The devil you know
Oh, j’ai failli avoir peur ! Non en fait j’ai vraiment eu peur. Rétrospectivement et objectivement… moué moué, si on fait le compte, il ne se passe pas des masses de choses dans cet épisode. Ou bien s’il s’en passe, c’est fouillis et comme on fait passer le tout avec des méthodes employées douze mille fois, ça donne l’impression qu’on a déjà vu cet épisode.
J’ai parfois le sentiment que vingt minutes auraient été largement suffisantes pour y caser les petites choses qui nous sont racontées ici. D’ailleurs, j’ai trouvé la première moitié relativement chiante. Bien heureusement, Mark Sheppard vient secouer un peu tout ça. Une fois de plus, et un peu à la manière de l’archangelot de l’épisode précédent, il écrase littéralement sous sa semelle Jared et Jensen ; le problème avec ce type, c’est que c’est un guest qui prend de la place. En plus, et c’est bien normal, on lui taille un personnage qui est à la hauteur ou presque de son phénoménal talent. Alors forcément, c’est le Crowley-show du début à la fin.
Oh, j’ai failli avoir peur ! Non en fait j’ai vraiment eu peur. Rétrospectivement et objectivement… moué moué, si on fait le compte, il ne se passe pas des masses de choses dans cet épisode. Ou bien s’il s’en passe, c’est fouillis et comme on fait passer le tout avec des méthodes employées douze mille fois, ça donne l’impression qu’on a déjà vu cet épisode. J’ai parfois le sentiment que vingt minutes auraient été largement suffisantes pour y caser les petites choses qui nous sont racontées ici. D’ailleurs, j’ai trouvé la première moitié relativement chiante. Bien heureusement, Mark Sheppard vient secouer un peu tout ça. Une fois de plus, et un peu à la manière de l’archangelot de l’épisode précédent, il écrase littéralement sous sa semelle Jared et Jensen ; le problème avec ce type, c’est que c’est un guest qui prend de la place. En plus, et c’est bien normal, on lui taille un personnage qui est à la hauteur ou presque de son phénoménal talent. Alors forcément, c’est le...
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