Des fois, j’ai l’impression que SG1 prend dix ans dans les dents à chaque épisode. C’est le cas pour celui-ci, qui marque pourtant le débarquement des Tollans.
Musique assourdissante, combinaisons en papier d’alu, le navrant Narim/Simon et sa bluette avec Carter (pour ceux qui auraient 80 wagons de retard, c’est aussi le copain de Weir dans SGA, on peut choisir d’en rire ou d’en pleurer), et l’insupportable Omoc qui, pour sûr, s’est planqué derrière le sarcophage le jour de la distrib’ d’amabilité. Et puis cet air consterné qu’ont les « sauveurs » quand ils se rendent compte que non, ils ne sont pas les meilleurs et les plus avancés de la galaxie, et que non, ce n’est pas toujours rendre service aux gens que de les embarquer sitôt qu’ils ont un petit souci.
Des fois, j’ai l’impression que SG1 prend dix ans dans les dents à chaque épisode. C’est le cas pour celui-ci, qui marque pourtant le débarquement des Tollans. Musique assourdissante, combinaisons en papier d’alu, le navrant Narim/Simon et sa bluette avec Carter (pour ceux qui auraient 80 wagons de retard, c’est aussi le copain de Weir dans SGA, on peut choisir d’en rire ou d’en pleurer), et l’insupportable Omoc qui, pour sûr, s’est planqué derrière le sarcophage le jour de la distrib’ d’amabilité. Et puis cet air consterné qu’ont les « sauveurs » quand ils se rendent compte que non, ils ne sont pas les meilleurs et les plus avancés de la galaxie, et que non, ce n’est pas toujours rendre service aux gens que de les embarquer sitôt qu’ils ont un petit...
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