Et voilà, encore une occasion de laisser crever le vieux chameau de ratée ! Allez, encore une petite quinzaine de fois comme ça, je pense que Merlin sera prêt à laisser pisser et on pourra organiser les obsèques nationales. 
Et voilà, encore une occasion de laisser crever le vieux chameau de ratée ! Allez, encore une petite quinzaine de fois comme ça, je pense que Merlin sera prêt à laisser pisser et on pourra organiser les obsèques...
La SuiteOh, Merlin… Ma pauvre petite biche. 
Comme je suis contente que tu sois suffisamment innocent pour ne pas te rendre compte de tout ce qui se passe autour de tes précieuses petites oreilles…
Gros pincement au coeur, donc, mais très bel épisode. Qui remplit toutes les cases de ce qu’on attend dans cette série : une Quête périlleuse, des grosses bêtes flippantes, des mythes grandioses, des contrées inhospitalières, un prince vaillant, de l’action, de la magie, de l’émotion. Tout y est et même plus. C’est beau. A commencer par cette première scène qui m’a laissée stupéfaite. C’est peut-être esthétiquement la plus belle que j’aie vu depuis le début de la série. Tout, la musique, la simplicité de la réalisation, les symboles. Mon cerveau était en pleine panique. Je me suis vraiment demandée où on nous emmenait avec notre bel héritier tout de blanc pur vêtu, qui s’avance pieds nus vers le trône de Camelot. J’ai eu super peur. J’ai pensé à une vision du futur, limite à un mariage clandestin… tout en me disant qu’ils n’oseraient pas. Encore une petite répétition générale du grand jour que j’attends avec de plus en plus d’impatience. Et qui semble se rapprocher à une vitesse terrifiante.
Oh, Merlin… Ma pauvre petite biche. Comme je suis contente que tu sois suffisamment innocent pour ne pas te rendre compte de tout ce qui se passe autour de tes précieuses petites oreilles… Gros pincement au coeur, donc, mais très bel épisode. Qui remplit toutes les cases de ce qu’on attend dans cette série : une Quête périlleuse, des grosses bêtes flippantes, des mythes grandioses, des contrées inhospitalières, un prince vaillant, de l’action, de la magie, de l’émotion. Tout y est et même plus. C’est beau. A commencer par cette première scène qui m’a laissée stupéfaite. C’est peut-être esthétiquement la plus belle que j’aie vu depuis le début de la série. Tout, la musique, la simplicité de la réalisation, les symboles. Mon cerveau était en pleine panique. Je me suis vraiment demandée où on nous emmenait avec notre bel héritier tout de blanc pur vêtu, qui s’avance pieds nus vers le trône de Camelot. J’ai eu super peur. J’ai pensé à une vision du futur, limite à un mariage clandestin…...
La SuiteVraiment, cet épisode était insupportable…
…
…
… oui, insupportable à force d’être adorable. 
Ca devient une habitude et c’est épuisant à force d’être parfait.
Tout commence fort mignonnement avec l’enlèvement de Gwen. Attendez, je trouve que limite on lui collerait la couronne sur la tête qu’elle ne serait pas plus reine qu’elle ne l’est déjà. Si on commence déjà à la kidnapper pour faire rappliquer Arthur dare-dare, je ne veux pas dire mais c’est bon, mettez-lui la robe blanche, pour le meilleur et pour le pire et zou.
Presque je sanglote déjà tellement c’est super romantique et tellement je sais qu’Arthur va courir derrière ventre-à-terre. 
Sauf que pour l’instant, le Prince de mes Fesses, il est en train de roupiller du sommeil du juste. Enfin jusqu’à ce que son bondissant mari serviteur vienne le réveiller et ça, il aime pas trop, il fait la moue, non, c’est pas son truc.
Vraiment, cet épisode était insupportable… … … … oui, insupportable à force d’être adorable. Ca devient une habitude et c’est épuisant à force d’être parfait. Tout commence fort mignonnement avec l’enlèvement de Gwen. Attendez, je trouve que limite on lui collerait la couronne sur la tête qu’elle ne serait pas plus reine qu’elle ne l’est déjà. Si on commence déjà à la kidnapper pour faire rappliquer Arthur dare-dare, je ne veux pas dire mais c’est bon, mettez-lui la robe blanche, pour le meilleur et pour le pire et zou. Presque je sanglote déjà tellement c’est super romantique et tellement je sais qu’Arthur va courir derrière ventre-à-terre. Sauf que pour l’instant, le Prince de mes Fesses, il est en train de roupiller du sommeil du juste. Enfin jusqu’à ce que son bondissant mari serviteur vienne le réveiller et ça, il aime pas trop, il fait la moue, non, c’est pas son...
La SuiteIl était une fois, dans un royaume lointain, un roi nommé Godwyn et sa gniarde de fille… Elena.
Pour l’instant plutôt très mignonne, d’ailleurs.
Alors oui, donc on confirme bien que certaines fées se sont penchées sur le berceau de la petite demoiselle. Par contre, je crois que les trois bonnes marraines étaient un peu aux abonnés absents. FEI-GNASSES !
Vous voyez ? Si ces trois connasses avaient été présentes, elles auraient pu offrir à la princesse le don de savoir se passer une brosse dans les cheveux et un brin de délicatesse et de féminité. Parce que vingt ans plus tard, c’est pas brillant, c’t’affaire !
Il était une fois, dans un royaume lointain, un roi nommé Godwyn et sa gniarde de fille… Elena. Pour l’instant plutôt très mignonne, d’ailleurs. Alors oui, donc on confirme bien que certaines fées se sont penchées sur le berceau de la petite demoiselle. Par contre, je crois que les trois bonnes marraines étaient un peu aux abonnés absents. FEI-GNASSES ! Vous voyez ? Si ces trois connasses avaient été présentes, elles auraient pu offrir à la princesse le don de savoir se passer une brosse dans les cheveux et un brin de délicatesse et de féminité. Parce que vingt ans plus tard, c’est pas brillant,...
La SuitePar le caleçon de Merlin ! Mais c’était quoi encore ce truc ??? 
Mais où sont donc les épisodes tout innocents où qu’on tuait gentiment des licornes avant de pleurer pendant quarante minutes qu’on voulait paaaaas, vrai, c’était juste pour jouer, on fera plus !
Sérieux, faut qu’ils arrêtent le délire. (Sauf que non, continuez, les mecs, c’est trop bien !)
Tout commence pourtant fort gentiment. Arthur et Merlin baguenaudent ENCORE en amoureux dans les fourrés. A leurs trousses une horde de barbares assoiffés de sang, des Pictes, des Saxons, des Calédoniens, on sait pas trop quoi, enfin à vue de pif, ils n’ont pas l’air de vouloir les attraper pour leur pincer les joues et les bourrer de chamallows. (Chose que je ne comprends pas, aussitôt que je les vois, c’est ce que j’ai envie de leur faire, moi.)
Par le caleçon de Merlin ! Mais c’était quoi encore ce truc ??? Mais où sont donc les épisodes tout innocents où qu’on tuait gentiment des licornes avant de pleurer pendant quarante minutes qu’on voulait paaaaas, vrai, c’était juste pour jouer, on fera plus ! Sérieux, faut qu’ils arrêtent le délire. (Sauf que non, continuez, les mecs, c’est trop bien !) Tout commence pourtant fort gentiment. Arthur et Merlin baguenaudent ENCORE en amoureux dans les fourrés. A leurs trousses une horde de barbares assoiffés de sang, des Pictes, des Saxons, des Calédoniens, on sait pas trop quoi, enfin à vue de pif, ils n’ont pas l’air de vouloir les attraper pour leur pincer les joues et les bourrer de chamallows. (Chose que je ne comprends pas, aussitôt que je les vois, c’est ce que j’ai envie de leur faire,...
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