Bon, je sens que vous ne me lâcherez pas l’hermine tant que je n’aurai pas posté cette review, alors zou, je la poste. De toute façon, je n’ai pas énormément de choses à dire de cet épisode, je crois que j’ai dit tout ce que j’avais à dire sur cette saison. Je l’ai adorée, vraiment, je pourrais me jeter à genoux tellement j’ai pris un pied d’enfer à regarder True Blood cet été, à attendre avec une impatience à la limite du supportable chaque nouvel épisode, à ressentir un manque presque physique dès le lundi soir. C’était vraiment ZE série de ces derniers mois. La plus démente, la plus enthousiasmante, la plus étonnante, la plus irréelle, jusque dans ses menus défauts.
Elle parvient à mêler avec une fraîcheur étonnante des tas de mythologies très différentes, modernes, antiques, païennes… Un vrai jambalaya, coloré, épicé, parfois bourratif jusqu’à l’écoeurement, mais qui vous laisse repu là où parfois, certaines séries vous donnent l’impression de sortir de table avec encore un creux.
True Blood, jamais.
Bon, je sens que vous ne me lâcherez pas l’hermine tant que je n’aurai pas posté cette review, alors zou, je la poste. De toute façon, je n’ai pas énormément de choses à dire de cet épisode, je crois que j’ai dit tout ce que j’avais à dire sur cette saison. Je l’ai adorée, vraiment, je pourrais me jeter à genoux tellement j’ai pris un pied d’enfer à regarder True Blood cet été, à attendre avec une impatience à la limite du supportable chaque nouvel épisode, à ressentir un manque presque physique dès le lundi soir. C’était vraiment ZE série de ces derniers mois. La plus démente, la plus enthousiasmante, la plus étonnante, la plus irréelle, jusque dans ses menus défauts. Elle parvient à mêler avec une fraîcheur étonnante des tas de mythologies très différentes, modernes, antiques, païennes… Un vrai jambalaya, coloré, épicé, parfois bourratif jusqu’à l’écoeurement, mais qui vous laisse repu là où parfois, certaines séries vous donnent l’impression de sortir de table avec encore un creux. True...
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