Scronch…

EN-FIN ! Limite il m’a donné les crocs, l’animal !

Pfiou, l’attente a été longue, quand même. Et maintenant, roue libre jusqu’à la fin, je vous prie.

(A propos, vous êtes au courant que c’est pas dit que la série s’arrête à cinq saisons ? Sera Gamble a déclaré dans une interview que rien n’était décidé, et que c’était surtout à la chaîne de prendre cette décision. Je me demande si Kripke serait prêt à continuer… )

Edit : et le titre du final de la saison prévu pour le 14 mai : Lucifer rising
YAY !

EN-FIN ! Limite il m’a donné les crocs, l’animal ! Pfiou, l’attente a été longue, quand même. Et maintenant, roue libre jusqu’à la fin, je vous prie. (A propos, vous êtes au courant que c’est pas dit que la série s’arrête à cinq saisons ? Sera Gamble a déclaré dans une interview que rien n’était décidé, et que c’était surtout à la chaîne de prendre cette décision. Je me demande si Kripke serait prêt à continuer… ) Edit : et le titre du final de la saison prévu pour le 14 mai : Lucifer rising...

Ok, c’est bon…

On aura bien une cinquième saison de SPN. Ca, c’est fait !

Maintenant, je peux respirer et envisager de m’inquiéter pour d’autres choses.

On aura bien une cinquième saison de SPN. Ca, c’est fait ! Maintenant, je peux respirer et envisager de m’inquiéter pour d’autres...

In the name of everything that’s holy…

OH… DEAR… GOD.

Et il faut attendre le 12 mars pour ça ??? Mais… mais… mais… c’est HONTEUX !

OH… DEAR… GOD. Et il faut attendre le 12 mars pour ça ??? Mais… mais… mais… c’est HONTEUX...

En attendant le retour de SPN…

Oui, parce que bon, c’est un peu long, là.

Dean n’a pas l’air content, dans « Death takes a holiday ».
Enfin, au moins, elle ne fera pas d’heures supplémentaires. La mort. Ah ah ah.

(La joke que genre personne va comprendre.)

Oui, parce que bon, c’est un peu long, là. Dean n’a pas l’air content, dans « Death takes a holiday ». Enfin, au moins, elle ne fera pas d’heures supplémentaires. La mort. Ah ah ah. (La joke que genre personne va...

414 : Sex and violence

Ah. Ben ça me paraît plié, moi, cette affaire, quelque chose de bien.
Nan mais voilà, quoi. Je crois qu’on ne peut plus y couper, il ne reste plus grand-chose de la relation fusionnelle des deux frangins. Episode après épisode, la méfiance s’installe, les petits secrets s’étoffent, les non-dits grandissent et chacun s’éloigne résolument de l’autre.

Ici, ils se mettent sur la gueule, manipulés par le monstre de la semaine. Bientôt, je ne doute pas de les voir s’entre-déchirer tout seuls comme des grands qu’ils sont.

D’ailleurs, le malaise se met très vite en place, tout de suite après l’intro. Dean dort alors encore du sommeil du juste…

Ah. Ben ça me paraît plié, moi, cette affaire, quelque chose de bien. Nan mais voilà, quoi. Je crois qu’on ne peut plus y couper, il ne reste plus grand-chose de la relation fusionnelle des deux frangins. Episode après épisode, la méfiance s’installe, les petits secrets s’étoffent, les non-dits grandissent et chacun s’éloigne résolument de l’autre. Ici, ils se mettent sur la gueule, manipulés par le monstre de la semaine. Bientôt, je ne doute pas de les voir s’entre-déchirer tout seuls comme des grands qu’ils sont. D’ailleurs, le malaise se met très vite en place, tout de suite après l’intro. Dean dort alors encore du sommeil du...

413 : After school special

Eh ben… je suis totalement bluffée ! Pour un Sammy-centric, c’était magistral. J’attendais cet épisode avec beaucoup d’impatience parce qu’au bout de quatre saisons, on sait bien qu’un épisode flashback, c’est forcément bourré de révélations pas super jouasses mais néanmoins indispensables sur nos chers bébés. C’est le cas, une fois de plus. Et ça, surtout grâce à un petit maillon de la chaîne, le jeune Colin Ford qui est EPOUSTOUFLANT dans le rôle du petit Sammy. C’est sa deuxième apparition dans la série et il est parvenu à s’approprier avec une assurance et une vérité bouleversantes le rôle construit en quatre ans par Jared Padalecki. Ce gosse est juste surnaturel. Franchement, je n’en reviens pas de ce qu’il a réussi à faire dans cet épisode. La jeunesse de Sam, ses espoirs, ses fardeaux prennent corps de manière magnifique. Et par moments, il ressemble tellement à la version adulte que c’en est renversant.
Avec ça, un scénar au poil. Non, vraiment, c’est très fort.

Eh ben… je suis totalement bluffée ! Pour un Sammy-centric, c’était magistral. J’attendais cet épisode avec beaucoup d’impatience parce qu’au bout de quatre saisons, on sait bien qu’un épisode flashback, c’est forcément bourré de révélations pas super jouasses mais néanmoins indispensables sur nos chers bébés. C’est le cas, une fois de plus. Et ça, surtout grâce à un petit maillon de la chaîne, le jeune Colin Ford qui est EPOUSTOUFLANT dans le rôle du petit Sammy. C’est sa deuxième apparition dans la série et il est parvenu à s’approprier avec une assurance et une vérité bouleversantes le rôle construit en quatre ans par Jared Padalecki. Ce gosse est juste surnaturel. Franchement, je n’en reviens pas de ce qu’il a réussi à faire dans cet épisode. La jeunesse de Sam, ses espoirs, ses fardeaux prennent corps de manière magnifique. Et par moments, il ressemble tellement à la version adulte que c’en est renversant. Avec ça, un scénar au poil. Non, vraiment, c’est très...