104 : Patch over
Ah ah ah. Je me marre. Je. Me. Marre. Ca m’a trop amusée de voir nos gros machos de motards rouler des mécaniques en se faisant des bises toutes les trois secondes parce que grave ils sont potes, et de percuter au bout d’un long moment qu’en fait, même si ce sont les mecs qui dégainent les flingues, qui décident que pfiout, toi, là… maintenant t’es un « Son », ben cet épisode, c’est un putain d’épisode sur les gonzesses. Celles qui vivent dans l’ombre (plus ou moins) des blousons de cuir. Celles qui aspirent à faire partie de ce monde. Celles qui le découvrent. Celles qui l’ont quitté. Et celles (celle, surtout) qui le maîtrisent à la perfection.
Même si elles sont loin d’avoir été ignorées dans les trois premiers épisodes, c’est un bel épisode d’exposition sur la condition des femmes de motards. Et nom d’un chien, on en apprend des choses.
Ah ah ah. Je me marre. Je. Me. Marre. Ca m’a trop amusée de voir nos gros machos de motards rouler des mécaniques en se faisant des bises toutes les trois secondes parce que grave ils sont potes, et de percuter au bout d’un long moment qu’en fait, même si ce sont les mecs qui dégainent les flingues, qui décident que pfiout, toi, là… maintenant t’es un « Son », ben cet épisode, c’est un putain d’épisode sur les gonzesses. Celles qui vivent dans l’ombre (plus ou moins) des blousons de cuir. Celles qui aspirent à faire partie de ce monde. Celles qui le découvrent. Celles qui l’ont quitté. Et celles (celle, surtout) qui le maîtrisent à la perfection. Même si elles sont loin d’avoir été ignorées dans les trois premiers épisodes, c’est un bel épisode d’exposition sur la condition des femmes de motards. Et nom d’un chien, on en apprend des...
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