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En ce moment…

… j’ai pas mal de requêtes de ce genre, ça et « qui est la bonnasse blonde qui joue dans BSG ? ». La rediffusion de la Minisérie sur M6 aurait-elle fait de nouveaux adeptes ?

… j’ai pas mal de requêtes de ce genre, ça et « qui est la bonnasse blonde qui joue dans BSG ? ». La rediffusion de la Minisérie sur M6 aurait-elle fait de nouveaux...

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Posted by on Jan 2, 2008 in Perles | 6 comments

Ceci est une private joke…

Mais après tout, rien ne m’empêche de vous la faire partager.

Ca remonte à une bonne année et demie et « Dead man’s chest » venait de sortir. On y était, la Chech’, Labell’A et moi-même. Vers la fin du film, cette lopette d’Orlando se fait étaler par je ne sais plus qui. Il se réveille quelques secondes plus tard sous les yeux de sa mocheté toute prête à aller galocher Johnny. Et là, d’un coup, dans cette salle de ciné sur le point de périr d’ennui, il s’est produit une chose que je n’ai vécu qu’une autre fois : un instant de communion parfaite. Nul doute qu’il devait y avoir un paquet de gonzesses car un immeeeeense soupir de tendresse a soulevé l’assistance émue par la vision en très gros plan de ce gros bébé ouvrant ses beaux yeux noirs. Unbeliefuckingable.
En revoyant le fameux « Dead man’s chest » hier soir (on ne se refuse rien, mais je viens d’acheter le troisième opus), je suis loin d’avoir ressenti la même chose, apparemment, ça ne marche que sur grand écran.

Mais après tout, rien ne m’empêche de vous la faire partager. Ca remonte à une bonne année et demie et « Dead man’s chest » venait de sortir. On y était, la Chech’, Labell’A et moi-même. Vers la fin du film, cette lopette d’Orlando se fait étaler par je ne sais plus qui. Il se réveille quelques secondes plus tard sous les yeux de sa mocheté toute prête à aller galocher Johnny. Et là, d’un coup, dans cette salle de ciné sur le point de périr d’ennui, il s’est produit une chose que je n’ai vécu qu’une autre fois : un instant de communion parfaite. Nul doute qu’il devait y avoir un paquet de gonzesses car un immeeeeense soupir de tendresse a soulevé l’assistance émue par la vision en très gros plan de ce gros bébé ouvrant ses beaux yeux noirs. Unbeliefuckingable. En revoyant le fameux « Dead man’s chest » hier soir (on ne se refuse rien, mais je viens d’acheter le troisième opus), je suis loin d’avoir ressenti la même chose, apparemment,...

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J’en étais sûre…

Pfffff… Mais POURQUOI faudrait-il qu’elle soit BELLE à la fin ??? Ca apporterait quoi à la chose ? C’est bon, maintenant elle est belle, mission accomplished ?
Y a donc pas moyen de voir plus loin que ça ???
Et si elle reste moche, elle finira vieille et célibataire avec trois chats diabétiques ???

Grr.

Pfffff… Mais POURQUOI faudrait-il qu’elle soit BELLE à la fin ??? Ca apporterait quoi à la chose ? C’est bon, maintenant elle est belle, mission accomplished ? Y a donc pas moyen de voir plus loin que ça ??? Et si elle reste moche, elle finira vieille et célibataire avec trois chats diabétiques ???...

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Posted by on Jan 2, 2008 in Perles | 12 comments

Seigneurs, Anneaux, Hobbits, Elfes, captures d’écran, réflexions et autres : les Deux Tours

Alors là, attention, ça se complique.

(Ca se complique tellement que ça m’a sortie du lit. Je voulais me coucher tôt et ce foutu billet tournait dans ma tête, il fallait que je l’écrive.)

Replaçons la chose dans son contexte.
2002, vlan, je me case. Ce sont des choses qui arrivent.
Nous nous convertissons mutuellement à un tas de choses (je résiste à The West Wing, on est bête quand on est jeune) mais surtout, pendant les mois qui précèdent la sortie des Tours, nous procédons à une préparation digne des plus grands athlètes. Relecture des bouquins, revisionnage intensif de la version longue de la Communauté, avec les commentaires, l’intégrale des bonus, bref, on en bouffe, de l’Anneau.
Et là, c’est le drame. On va voir les Deux Tours. On se retrouve deux heures et quelques plus tard à la terrasse surchauffée d’un bistro voisin, et on se regarde la mine déconfite : c’était quoi donc, ce truc ?
Je vous dis pas l’ambiance.

Alors là, attention, ça se complique. (Ca se complique tellement que ça m’a sortie du lit. Je voulais me coucher tôt et ce foutu billet tournait dans ma tête, il fallait que je l’écrive.) Replaçons la chose dans son contexte. 2002, vlan, je me case. Ce sont des choses qui arrivent. Nous nous convertissons mutuellement à un tas de choses (je résiste à The West Wing, on est bête quand on est jeune) mais surtout, pendant les mois qui précèdent la sortie des Tours, nous procédons à une préparation digne des plus grands athlètes. Relecture des bouquins, revisionnage intensif de la version longue de la Communauté, avec les commentaires, l’intégrale des bonus, bref, on en bouffe, de l’Anneau. Et là, c’est le drame. On va voir les Deux Tours. On se retrouve deux heures et quelques plus tard à la terrasse surchauffée d’un bistro voisin, et on se regarde la mine déconfite : c’était quoi donc, ce truc ? Je vous dis pas...

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