103 : The ghost network
Bizarre. En fait, cette série me plaît quand même bien et j’ai dû mal à comprendre pourquoi étant donné que je suis comme mystifiée devant.
J’ai fait des études de pseudo-lettres, moi, j’y bite rien à leurs trucs scientifico-scientifiques. Ca ferait un bon prétexte si je n’avais pas vaguement l’impression que même si j’étais scientifique, j’y biterais rien non plus. Moralité, je suis bien perplexe et je n’arrive pas à me décider à larguer définitivement cette série. Que faire ? A part glousser comme une grosse poule quand Walter découvre les joies du vibreur sur le téléphone de son fils et soupirer devant les gros plans sur Joshua Jackson ? Ben rien. Je me résigne. Je continue Fringe. Même si j’y bite vraiment rien.
Bizarre. En fait, cette série me plaît quand même bien et j’ai dû mal à comprendre pourquoi étant donné que je suis comme mystifiée devant. J’ai fait des études de pseudo-lettres, moi, j’y bite rien à leurs trucs scientifico-scientifiques. Ca ferait un bon prétexte si je n’avais pas vaguement l’impression que même si j’étais scientifique, j’y biterais rien non plus. Moralité, je suis bien perplexe et je n’arrive pas à me décider à larguer définitivement cette série. Que faire ? A part glousser comme une grosse poule quand Walter découvre les joies du vibreur sur le téléphone de son fils et soupirer devant les gros plans sur Joshua Jackson ? Ben rien. Je me résigne. Je continue Fringe. Même si j’y bite vraiment...
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