Je ne vous dis pas ma surprise…

En découvrant que…

… le fils de Richard, c’est André Michaux !!!

En découvrant que… … le fils de Richard, c’est André Michaux...

505 : The one with the Kips

Oué, hé, on arrête de rigoler parce que je suis en plein voyage dans les années 90. Des fois, retomber en enfance, ça fait du bien.

(Et en disant ça, c’est comme si j’avais 22 ans, donc ça m’arrange.)

Bref. Cet épisode m’a fait hurler de rire. C’est celui où Monica et Chandler tentent de se faire un week-end en amoureux (minable, le week-end) et où Ross est interdit de Rachel par sa douce Emily.

(En fait, tout à coup, je me souviens pourquoi je ne l’aimais pas. Complètement hystéro, la meuf.)

Oué, hé, on arrête de rigoler parce que je suis en plein voyage dans les années 90. Des fois, retomber en enfance, ça fait du bien. (Et en disant ça, c’est comme si j’avais 22 ans, donc ça m’arrange.) Bref. Cet épisode m’a fait hurler de rire. C’est celui où Monica et Chandler tentent de se faire un week-end en amoureux (minable, le week-end) et où Ross est interdit de Rachel par sa douce Emily. (En fait, tout à coup, je me souviens pourquoi je ne l’aimais pas. Complètement hystéro, la...

423 : The one with Ross’ wedding

Arf… Il y a décidément des trucs qui ne se démodent jamais. « I take thee, Rachel…  » en fait partie.

Je ne sais pas comment dix ans après j’arrive encore à en rire comme si c’était la première fois, mais c’est le cas…

Pourtant, cette fois, même si je ris rien qu’en repensant à la tronche de Ross qui sort ça d’un air tellement béat, j’avoue que la tête de la pauvre Emily m’a fait pitié. C’est bizarre. Cette même Emily que j’ai honni il y a dix ans me semble tout à fait sympathique, maintenant.

Arf… Il y a décidément des trucs qui ne se démodent jamais. « I take thee, Rachel…  » en fait partie. Je ne sais pas comment dix ans après j’arrive encore à en rire comme si c’était la première fois, mais c’est le cas… Pourtant, cette fois, même si je ris rien qu’en repensant à la tronche de Ross qui sort ça d’un air tellement béat, j’avoue que la tête de la pauvre Emily m’a fait pitié. C’est bizarre. Cette même Emily que j’ai honni il y a dix ans me semble tout à fait sympathique,...

404 : The one with the dirty girl

Eh bien j’ai regardé cet épisode avant-hier soir, et quelle ne fut pas ma surprise en découvrant que non seulement Alexis Meade est un trans’, mais que c’est également une sacrée souillon.

(Les mauvaises langues diront que cela devrait me la rendre plus sympathique… mais non.)

Bref, c’est donc bien Rebecca Romijn (alias aussi Mystique de X-Men) qui joue le rôle de la superbe souillon que Ross ne réussira pas à se taper.

Eh bien j’ai regardé cet épisode avant-hier soir, et quelle ne fut pas ma surprise en découvrant que non seulement Alexis Meade est un trans’, mais que c’est également une sacrée souillon. (Les mauvaises langues diront que cela devrait me la rendre plus sympathique… mais non.) Bref, c’est donc bien Rebecca Romijn (alias aussi Mystique de X-Men) qui joue le rôle de la superbe souillon que Ross ne réussira pas à se...

"Kathy ! KATHY !!!"

C’est complètement con, mais la scène où Chandler court après Kathy, la nouvelle copine de Joey pour laquelle il a un faible, vient de me faire hurler de rire…

C’est complètement con, mais la scène où Chandler court après Kathy, la nouvelle copine de Joey pour laquelle il a un faible, vient de me faire hurler de...

210 : The one with Russ

Il y a des samedis, comme ça, où alors que la moitié de la ville (+ ce qui m’a semblé comme trois millions de touristes) s’active après les cadeaux de Noël et autres trukalakon, le simple fait d’acheter une pauvre baguette relève de l’effort surhumain. Vingt-cinq minutes pour atteindre la boulangerie au milieu d’une foule enragée, ça m’a calmée pour la journée. Et comme ces derniers temps, le moral n’est pas franchement au beau fixe, j’ai sorti l’arme secrète, la seule qui reste après le visionnage de l’intégrale du Seigneur des Anneaux (version longue) et de ses bonus : Friends.

Il y a des samedis, comme ça, où alors que la moitié de la ville (+ ce qui m’a semblé comme trois millions de touristes) s’active après les cadeaux de Noël et autres trukalakon, le simple fait d’acheter une pauvre baguette relève de l’effort surhumain. Vingt-cinq minutes pour atteindre la boulangerie au milieu d’une foule enragée, ça m’a calmée pour la journée. Et comme ces derniers temps, le moral n’est pas franchement au beau fixe, j’ai sorti l’arme secrète, la seule qui reste après le visionnage de l’intégrale du Seigneur des Anneaux (version longue) et de ses bonus :...