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Ces scènes magiques qui font FNL (2)

Coach Taylor est formidable. Regardez-le qui tente d’épargner Mrs Coach le plus longtemps possible. Avant de devoir lui asséner la terrible vérité.

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Alors non. Malgré la tête de déterré que tire Coach Taylor, sa fille Julie n’est pas atteinte d’une leucémie ou tout autre truc abominable. Et lorsque Tami Taylor se relève d’un bond avec l’expression que voici :

Coach Taylor est formidable. Regardez-le qui tente d’épargner Mrs Coach le plus longtemps possible. Avant de devoir lui asséner la terrible vérité. Alors non. Malgré la tête de déterré que tire Coach Taylor, sa fille Julie n’est pas atteinte d’une leucémie ou tout autre truc abominable. Et lorsque Tami Taylor se relève d’un bond avec l’expression que voici : Ce n’est pas non plus parce qu’elle a appris que leur chère enfant a un troisième bras vert qui lui pousse entre les omoplates. Et si Coach Taylor a toutes les peines à regarder sa chère épouse dans les yeux, et même à parler de cette ignominie… Ce n’est pas non plus parce qu’il vient de lui avouer qu’il attendait le petit troisième. Ce qui pourrait expliquer la tête de Mrs Coach, notez. Non, ce qui provoque une telle gêne, la raison pour laquelle le pauvre Coach Taylor semble avoir avalé sa casquette et la moitié de l’équipe des Dillon Panthers avec, c’est que… Oui, il a bien surpris leur...

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Posted by on Fév 11, 2015 in Friday night lights | 2 comments

Ces scènes magiques qui font FNL (1)

Parfois, quand j’ai le temps de réfléchir à autre chose qu’à « Putain je vais être en retard » et « Où est-ce que je bosse aujourd’hui, au fait ? », je repense à certaines vieilles séries et je me demande ce qui faisait leur magie, ce qui a fait que j’ai passé tant d’heures à enchaîner les épisodes il y a des années de cela.

En revoyant cet épisode de la saison 3, et plus particulièrement cette scène, je me suis souvenue. C’est ça, FNL. Des scènes toutes simples mais des moments de grâce, avec une caméra complice, au plus près des protagonistes.

Parfois, quand j’ai le temps de réfléchir à autre chose qu’à « Putain je vais être en retard » et « Où est-ce que je bosse aujourd’hui, au fait ? », je repense à certaines vieilles séries et je me demande ce qui faisait leur magie, ce qui a fait que j’ai passé tant d’heures à enchaîner les épisodes il y a des années de cela. En revoyant cet épisode de la saison 3, et plus particulièrement cette scène, je me suis souvenue. C’est ça, FNL. Des scènes toutes simples mais des moments de grâce, avec une caméra complice, au plus près des...

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Posted by on Fév 9, 2015 in Friday night lights | 1 comment

[FRIDAY NIGHT LIGHTS] 201 : Last days of summer

[FRIDAY NIGHT LIGHTS] 201 : Last days of summer

Hey, y’all !

Vous avez le droit de penser que je suis en plein revival 2011.
En vrai, j’ai la grippe, les gens, c’est tragique, c’est affreux, c’est atroce, c’est l’ABOMINATION !

Quand il a été question de garder le lit, je me suis dit : « Bon. Qu’est-ce que j’ai envie de regarder une dernière fois avant de crever ? » (Souvenons-nous que je ne suis pas du tout une drama-queen.)

Évidemment, j’ai pensé à Spartacus BSG, mais au fond de moi, j’ai dû sentir que la fin n’était pas encore tout à fait arrivée. Et puis je me suis souvenue de certains DVD encore sous blister. La fin de FNL, yep. Mais hein ? C’est que je risquais d’avoir oublié le début ! Et qui de mieux pour vous tenir la main lorsque vous claquez des dents sous la couette ? COACH TAYLOR !!!

Laissez-moi vous dire qu’il a été merveilleux. Et que son index cosmique m’a été d’un grand secours.

Bref, je me suis enfilée la saison 1 en trois jours. Bien pratique, la grippe, de toute façon, vous ne pouvez pas faire grand-chose donc bon.
Ça m’aurait bien arrangée d’avoir encore une fièvre de cheval pour attaquer la saison 2 que je ne porte pas vraiment dans mon cœur, mais force est de constater que je reprends vie. Et que passés les premiers émois d’il y a près de quatre ans, la saison 2 me semble beaucoup moins indigeste. 

Allez, je suis sympa et je ne vous reparle pas de la grande année de la grève des scénaristes parce qu’on va tous avoir l’air très vieux, mais… si, cette saison 2 de FNL en est le fruit. Tout s’explique, non ??

(2007, guys. Je ne vous mens pas. 2007.)

Bref ! Allons donc lancer quelques ballons, je vous prie. J’ai le souffle court mais besoin de me dégourdir les papattes.

Hey, y’all ! Vous avez le droit de penser que je suis en plein revival 2011. En vrai, j’ai la grippe, les gens, c’est tragique, c’est affreux, c’est atroce, c’est l’ABOMINATION ! Quand il a été question de garder le lit, je me suis dit : « Bon. Qu’est-ce que j’ai envie de regarder une dernière fois avant de crever ? » (Souvenons-nous que je ne suis pas du tout une drama-queen.) Évidemment, j’ai pensé à Spartacus BSG, mais au fond de moi, j’ai dû sentir que la fin n’était pas encore tout à fait arrivée. Et puis je me suis souvenue de certains DVD encore sous blister. La fin de FNL, yep. Mais hein ? C’est que je risquais d’avoir oublié le début ! Et qui de mieux pour vous tenir la main lorsque vous claquez des dents sous la couette ? COACH TAYLOR !!! Laissez-moi vous dire qu’il a été merveilleux. Et que son index cosmique m’a été d’un grand secours. Bref, je me suis enfilée la saison 1...

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Posted by on Fév 5, 2015 in Friday night lights | 11 comments

[FRIDAY NIGHT LIGHTS] 513 : Always

Ah, les affres des dernières minutes de cette série. Ce pied-de-nez au public, suspendu à la balle lancée en l’air à trois secondes de la fin de la finale du Texas par Vince Howard, et qui tourne, tourne, tourne, dans un ralenti suppliciant. Et alors qu’on s’apprête à la regarder s’abattre dans des bras blancs ou oranges, ceux de Luke Cafferty ou de l’adversaire, sonnant la victoire ou la défaite… Les bras sont verts. Nous sommes huit mois plus tard, à Philadelphie, puisque Coach Taylor a enfin compris que s’il ne laissait pas Mrs Coach réaliser son rêve et devenir doyenne de fac, c’en était fini de son ménage. Voilà donc mon Coach reprenant tout à zéro avec une bande de quelconques petits branleurs. Mais hé quoi ? On sait bien, nous, que Coach Taylor, il vous transforme du plomb en or. Il va vous ramasser toute la racaille locale et il en fait des athlètes, des champions. Si on revenait dans trois ans, ce serait sûrement pour le voir...

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Posted by on Sep 30, 2011 in Friday night lights | 5 comments

Coach Taylor, il a un truc super secret.

Le redoutable INDEX DE LA MORT, directement relié au cosmos.
Grâce à cet index, Coach Taylor règle vos problèmes d’argent et exorcise vos démons.

Grâce à cet index, Coach Taylor remédie à vos complexes physiques et moraux. Et vous débloque votre carte SIM.

Grâce à cet index, Coach Taylor maintient l’ordre et la discipline dans la cellule familiale et vous promet un mariage durable. (Il répare aussi votre PC à distance.)

Grâce à cet index, Coach Taylor règle instantanément vos problèmes d’alcoolisme et vous promet la puissance sexuelle.

Le redoutable INDEX DE LA MORT, directement relié au cosmos. Grâce à cet index, Coach Taylor règle vos problèmes d’argent et exorcise vos démons. Grâce à cet index, Coach Taylor remédie à vos complexes physiques et moraux. Et vous débloque votre carte SIM. Grâce à cet index, Coach Taylor maintient l’ordre et la discipline dans la cellule familiale et vous promet un mariage durable. (Il répare aussi votre PC à distance.) Grâce à cet index, Coach Taylor règle instantanément vos problèmes d’alcoolisme et vous promet la puissance...

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Posted by on Août 6, 2011 in Friday night lights | 14 comments

[FRIDAY NIGHT LIGHTS] 120 : Mud Bowl

Mes petits lecteurs, chuis bien désolée, ceci était censé être une review 100% troubloudienne, mais il y a des fois, il faut savoir renoncer au planning pour faire place à la spontanéité. Parce qu’il est nécessaire que je vous raconte à quel point j’ai passé une semaine d’exception devant FNL.
Bon, à la base, j’ai passé une semaine exceptionnellement merdique avec les larmes de croco qui vont bien, les « j’y arriverai jamais », l’isolement indispensable etc. (Ca va mieux, hein, je précise pour les ceusses qui s’inquiéteraient, il doit bien y en avoir un ou deux dans le lot.)
C’est marrant parce que c’est souvent dans ces moments-là que je me retrouve devant une série improbable dont je fais une consommation frénétique. Cette année, à moi les petits footballeurs !

Mes petits lecteurs, chuis bien désolée, ceci était censé être une review 100% troubloudienne, mais il y a des fois, il faut savoir renoncer au planning pour faire place à la spontanéité. Parce qu’il est nécessaire que je vous raconte à quel point j’ai passé une semaine d’exception devant FNL. Bon, à la base, j’ai passé une semaine exceptionnellement merdique avec les larmes de croco qui vont bien, les « j’y arriverai jamais », l’isolement indispensable etc. (Ca va mieux, hein, je précise pour les ceusses qui s’inquiéteraient, il doit bien y en avoir un ou deux dans le lot.) C’est marrant parce que c’est souvent dans ces moments-là que je me retrouve devant une série improbable dont je fais une consommation frénétique. Cette année, à moi les petits...

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Posted by on Juil 21, 2011 in Friday night lights | 30 comments

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