Inutile de dire que je n’ai absolument aucune idée de la façon de rédiger ce billet. En fait, ça fait un mois voire plus que je suis dessus, que je réfléchis un peu chaque jour à la question et que je repousse au lendemain.
Pourtant, ce serait très simple de dire que j’ai adoré cet épisode puisque c’est le cas. Mais comme toutes les séries que je suis depuis des années, j’ai du mal… elle se renouvelle, plus que les autres, sans doute, étant donné le contenu. Mais j’ai du mal.
Globalement, j’ai peiné pendant toute cette saison. Rejointe par le Dark Side qui a englouti les cinq saisons en moins de temps qu’il ne faut pour le dire (AH !) et qui a intégré le clan des indécrottables nostalgiques de David Tennant, je n’ai pas trouvé de raison plausible à cette baisse de régime de ma part. J’aime toujours la série, j’aime toujours les histoires, le Docteur continue à me faire rêver, je trouve Matt Smith formidable, Amy est une Companion d’enfer, Arthur Darvill une révélation et le tout est orchestré par Steven Moffat, LE scénariste adulé, LE génie du récit. Alors quoi, merde ?! Ben je ne sais pas. Le Dark Side a émis une hypothèse, celle du rajeunissement de la série… on a peut-être, à notre grand âge, plus de mal à s’identifier à une jeune Amy Pond et la légèreté d’Eleven, quoique craquante, n’y est peut-être pas étrangère. C’est vrai que Donna était plus proche de nous… c’est vrai qu’Eccleston et Tennant avaient une bonne trentaine finissante qui nous correspondait plus. Vraiment, je ne sais pas. Toujours est-il que j’ai plus de mal à prendre mon clavier et à venir parler du Docteur malgré mon enthousiasme devant certains épisodes… y compris celui-ci.
Inutile de dire que je n’ai absolument aucune idée de la façon de rédiger ce billet. En fait, ça fait un mois voire plus que je suis dessus, que je réfléchis un peu chaque jour à la question et que je repousse au lendemain. Pourtant, ce serait très simple de dire que j’ai adoré cet épisode puisque c’est le cas. Mais comme toutes les séries que je suis depuis des années, j’ai du mal… elle se renouvelle, plus que les autres, sans doute, étant donné le contenu. Mais j’ai du mal. Globalement, j’ai peiné pendant toute cette saison. Rejointe par le Dark Side qui a englouti les cinq saisons en moins de temps qu’il ne faut pour le dire (AH !) et qui a intégré le clan des indécrottables nostalgiques de David Tennant, je n’ai pas trouvé de raison plausible à cette baisse de régime de ma part. J’aime toujours la série, j’aime toujours les histoires, le Docteur continue à me faire rêver, je trouve Matt Smith formidable, Amy...
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