[DOCTOR WHO] 607 : A good man goes to war

(Attention à ceux qui n’ont pas vu l’épisode. Les spoilers que vous vous apprêtez à lire vont fondamentalement changer votre façon de regarder la série. En tout cas si vous la regardez ! Vous êtes prévenus. 😉 )

(Attention à ceux qui n’ont pas vu l’épisode. Les spoilers que vous vous apprêtez à lire vont fondamentalement changer votre façon de regarder la série. En tout cas si vous la regardez ! Vous êtes prévenus. 😉 ) Et voilà comment je suis définitivement tombée amoureuse du mythique quatuor. Vous me direz qu’il m’en aura fallu, du temps. Mais c’est tellement bon qu’on vous résiste un petit peu ! Alors oui, cet épisode c’était des images de folie, une débauche d’aliens et d’effets spéciaux, des situations épiques à la louche. (Demon’s run, encore un nom bien mystérieux, surtout pour un astéroïde… ) Classouille ! Mais avant tout, c’est la libération au bout de trois ans d’interrogations. C’est une histoire, superbement maîtrisée, bien racontée, une histoire qui fout la chair de poule. Ce sont quatre personnages, quatre acteurs, qui donnent tout pour vous la flanquer, cette chair de poule. Alors oui, encore, c’était prévisible. On le sentait venir depuis le début de la saison, j’y ai beaucoup repensé entretemps, surtout avec Steven...

[DOCTOR WHO] 606 : The almost people

Bieeeeeeen ! Quelqu’un aurait-il l’amabilité de m’expliquer ce qui vient de se passer, là ??? C’était quoi encore ce TRUC qu’on vient de se manger en pleine poire, s’il vous plaît ? Nan parce que limite, l’épisode, on s’en fout, l’important, ce sont ces quelques dernières minutes durant lesquelles, une fois de plus, on semble coller votre cervelle dans un saladier pour touiller allègrement avec une grande cuiller en bois ! Nan mais j’adore, hein. Genre ouéééé, tout est bien qui finit presque bien, on fait « ah ah ah, le Docteur, ouais, trop la classe, excusez-le d’être aussi formidable »… … et là BOUM ! Bon, ma Pond-chérie, maintenant, il va falloir pousser. PARDON ??? Ben oui, pousse, une, deux, une, deux, AAAAAAAH ! Normal, quoi. Nan mais eux, ah ah ah, est-il désopilant. Tu vois bien qu’elle a pas du tout un ballon sous son pull comme toute bonne parturiente qui se respecte, mon pauvre Onze. Pardonnez-lui, le sexe, les bébés, tout ça, pas son truc. Par contre, c’est vrai que c’est troublant le...

[DOCTOR WHO] 605 : The rebel flesh

Allons bon, encore un épisode qui souffre du syndrome des « Doubles qui ne devraient pas en être » ! C’est dommage, vraiment, parce qu’on a tellement peu d’épisodes à se mettre sous la dent qu’on n’a vraiment pas envie d’en sortir mitigé, surtout quand on doit se farcir la suite une semaine plus tard, avant de se manger le cliff de mi-saison dans la foulée ! Bref, c’est du Doctor Who tout ce qu’il y a de plus classique (ce qui a son charme, cela dit) et qui pose des questions tout ce qu’il y a de plus classiques : quand un clone commence-t-il à être réellement humain ? De la pure SF. L’ennui c’est que quand on fait de la pure SF et qu’on veut poser ce genre de questions, aujourd’hui, il vaut mieux le faire de façon à laisser les spectateurs sans voix, sinon, c’est la porte ouverte à tous les ennuis. Et j’avoue, moi, je me suis un peu ennuyée. Evidemment, les acteurs principaux font leur show et c’est un plaisir...

[DOCTOR WHO] 604 : The Doctor’s wife

Le voilà enfin, cet épisode tant attendu. Entre le nom du bonhomme qui a commis cet épisode et le titre qui est un touuuut petit peu abusé, inutile de dire que la fanbase était aux cent coups ! Moi, perso, je suis restée cool. Pas envie de vendre la peau du Slitheen avant de l’avoir tué. J’ai eu un peu raison parce que tout en reconnaissant les très nombreuses qualités de cet épisode, je n’ai pas été émue outre mesure. Toutefois, je sens bien que c’est le genre d’épisode qui va laisser une marque indélébile dans l’histoire de la série, voire qui va devenir culte et supporter de nombreux revisionnages, sans doute un peu plus humides. A mes yeux (qui sont donc restés secs), c’est un tournant, une histoire qui ouvre tellement de portes que j’ai eu du mal à assimiler la chose. J’imagine qu’il fallait bien un one-shot signé par un Neil Gaiman pour apporter ça à la série. Eh oui, Neil Gaiman ose donner vie au Tardis pendant...

Forest of the dead…

… c’est en live-twit ici et maintenant ! 🙂

… c’est en live-twit ici et maintenant !...

[DOCTOR WHO] 603 : The curse of the black spot

Bon, je vous avouerais que je ne conserverai pas un souvenir impérissable de cet épisode. Il était tout à fait divertissant, quoi qu’un peu longuet par moments. Ca fait un peu bizarre de se retrouver face à une intrigue aussi ténue après tous les excentricités auxquelles nous a habitués Steven Moffat. Personnellement, je ne m’en plaindrai pas plus que ça : c’est très reposant ! Et joli. Evidemment, les « pirates » sont un peu trop proprets et le Onze a bien raison de pleurnicher parce qu’on ne lui sert pas les clichés tant attendus… Mais bon, comme je le disais, cela reste divertissant, bref, ça fait passer le temps. J’ai bien aimé la façon dont on récupère une légende, celle de la marque noire synonyme de mort dans le monde des pirates (ah, « L’Ile au trésor »), en y ajoutant une autre, celle des sirènes, dont on explique l’existence par un ressort technologique futuriste. Assez prévisible, bien sûr, après six saisons de New-Who. Classique, quoi. C’est donc en répondant à un appel de...