[DOCTOR WHO] 612 : Closing time

« I’m the Doctor, and I was here to help. »

« I’m the Doctor, and I was here to help. » Vous voyez ? Et bien j’ai passé un super moment devant cet épisode ! C’était très inattendu, mais j’ai trouvé ça très sympa ! Je n’étais pas restée sur un souvenir exceptionnel de l’épisode du colocataire, dans la saison 5, vu deux fois, sans doute une fois de trop… mais là, j’ai adoré cette suite. Le retour de Craig est très bien géré, très drôle, et c’est touchant que le Docteur vienne retrouver le plus humain de ses potes pour sa dernière journée avant le grand voyage, et passer du temps au plus près de ses petits singes qu’il aime tant avant de tirer sa révérence. Le Docteur vendeur dans un magasin de jouets. La veille de sa mort. Je vous jure, il nous les fera toutes. Doctor : Oh, I’m the Doctor, I work in a shop now. Here to help. Look, they gave me a badge with my name on, in case I forget who I am. Very thoughtful, as that does...

[DOCTOR WHO] 611 : The God complex

(Charmants, ces ongles Bleu Tardis !)

(Charmants, ces ongles Bleu Tardis !) Mmmmmmh. Compliqué… Je n’ai probablement pas regardé cet épisode dans des conditions optimales – ça ne peut pas être toujours le cas -, il est même fort possible que j’aie souffert d’une terrible gueule de bois en lançant le visionnage, mais à la base, je n’ai pas trop aimé. En y réfléchissant bien (et j’y ai mis la semaine), c’est un bon épisode. Mais je crois qu’il a pour moi un peu souffert d’avoir été diffusé aussi vite après « Night Terrors ». (Alors qu’au final, les deux épisodes ne se ressemblent pas tant que ça). Et surtout, à mon sens, le système Amy/Doctor s’épuise. On pourrait tourner en boucle comme ça pendant longtemps autour de « la fille qui a attendu ». Et le soulagement que j’ai éprouvé à la fin de l’épisode en dit long. Ca m’a très peu touchée, au final. Et honnêtement, oui : il est temps qu’Amelia Pond devienne Amy Williams et grandisse enfin un grand coup. Bref, il est temps qu’elle cesse...

[DOCTOR WHO] 610 : The girl who waited

Alors… je ne suis pas certaine d’avoir bien compris pourquoi, mais cet épisode m’a mise à genoux. Pourtant, il est plein de défauts et de trucs franchement pas gégés, mais je ne sais pas… j’ai pas arrêté de couiner et de verser des larmes devant, c’était pas beau à voir. Alors, ce que j’ai aimé… ben j’ai aimé que le Docteur soit un salaud. Ouais. J’ai toujours adoré voir le Docteur faire n’importe quoi, se planter, être mauvais, méchant… finalement, je le préfère à ce machin bondissant qui peut finir par énerver à force de se la péter : « Ouaich, poulette. T’inquiète, chuis le Doc, je maîtrise, Time Lord oblige. » Et c’est exactement ce que fait notre charmant praticien dans cet épisode. Ah ça te fait chier, la culpabilité, mon bonhomme ? Ben mange ! C’est justement tout l’intérêt de ce personnage de pouvoir faire briller les yeux des gens et aussi de les décevoir. Enfin je ne sais pas, moi en tout cas, c’est ça qui m’a toujours intéressée chez lui....

[DOCTOR WHO] 609 : Night terrors

(Ouh qu’c’est joli, ça !)

(Ouh qu’c’est joli, ça !) Ben écoutez : enchaînons ! Ce qu’il y a de bien avec cet épisode, c’est que je suis assurée de ne pas y passer la nuit ! Parce que bon. C’était gentil, quoi. Ca ne casse pas trois pattes à un canard unijambiste. Et personnellement, j’ai passé une nuit excellente en allant me coucher juste après ! En même temps, je suis contente. Franchement, avoir un « Hitler » toutes les semaines, ça m’achèverait ! Là, tranquillou, je ne m’attendais pas à grand-chose, effectivement, ça m’a occupé agréablement trois quarts d’heure sans que j’aie besoin de me triturer les méninges (et sans culpabiliser de ne pas avoir envie de me les triturer), c’est re-po-sant. Alors à ceux qui se sont montrés déçus, j’ai envie de dire : hello, les amis. Mark Gatiss. Vous vous souvenez ? Lazarus et Churchill. Vous vous attendiez à quoi ? Ce n’est pas parce qu’entre-temps il nous a co-signé « Sherlock » qu’il va forcément se mettre à nous pondre des « Blink » pour « Doctor Who ». J’aime beaucoup le bonhomme,...

[DOCTOR WHO] 608 : Let’s kill Hitler

Bon ben il était temps que je m’attaque à ce machin, dites voir ! Il faut me comprendre, le morceau est d’importance… et la perspective de passer trois heures sur une review n’est pas toujours super séduisante ! Je vais essayer de ne pas faire trop long, on ne sait jamais, si j’y crois très fort, peut-être que ça marchera. En tout cas… ah. Mais AH ! Mais c’était trop bien, il faut arrêter !!! Je n’avais pas vu une bande-annonce, que dalle. Ah, la chute du haut de mon cocotier a été violente, je peux vous le dire ! D’ailleurs, un truc dont je ne me suis toujours pas remise, c’est le fait qu’on passe aussi vite de bébé enlevé et programmé pour tuer à fifille amoureuse. Encore une façon de nous enfler, je ne vois que ça ! De toute façon, quoi qu’il en soit, en tout état de cause, ne me demandez rien, je ne sais plus. Je ne sais plus qui tue le Docteur, au final. Ils m’agacent avec...

Doctor Who Experience ou un dimanche matin qui déchire sa mémé en porte-jaretelles.

Bon bah oui, désolée, on ne peut pas être au four et au moulin. J’étais bel et bien devant une télévision samedi à 19h pour la reprise de Doctor Who, mais à Londres, dans une chambre d’hôtel, ce qui est tout de suite plus compliqué pour faire des captures d’écran et reviewer un épisode !
Je vous situe le truc. En juin dernier, moi-même et trois cops, on décide de partir à Londres ensemble fin août façon colonie de vacances whovienne. Objectif premier : Doctor Who Experience, cette expo interactive qui est le Graal de tout bon aspirant Time Lord. Inutile de dire qu’il faut déjà être relativement fanatique pour faire ça. Inutile de dire également que les dérapages ont été nombreux et que ça a geeké comme jamais. Non parce que les tarées qui flippent dans leur chambre à 19h parce qu’elles trouvent pas la Beeb et qui descendent à la réception pour demander à regarder Doctor Who, bon, ça commence déjà très fort. (Et croyez-moi, des anecdotes dans le genre, j’en ai une tripotée. En fait, si vous voulez dormir, ne partez JAMAIS en week-end avec trois sérivores. En même temps, si vous voulez avoir l’impression pour une fois d’être en phase avec le monde qui vous entoure, eh bien faites-le !)

Bon bah oui, désolée, on ne peut pas être au four et au moulin. J’étais bel et bien devant une télévision samedi à 19h pour la reprise de Doctor Who, mais à Londres, dans une chambre d’hôtel, ce qui est tout de suite plus compliqué pour faire des captures d’écran et reviewer un épisode ! Je vous situe le truc. En juin dernier, moi-même et trois cops, on décide de partir à Londres ensemble fin août façon colonie de vacances whovienne. Objectif premier : Doctor Who Experience, cette expo interactive qui est le Graal de tout bon aspirant Time Lord. Inutile de dire qu’il faut déjà être relativement fanatique pour faire ça. Inutile de dire également que les dérapages ont été nombreux et que ça a geeké comme jamais. Non parce que les tarées qui flippent dans leur chambre à 19h parce qu’elles trouvent pas la Beeb et qui descendent à la réception pour demander à regarder Doctor Who, bon, ça commence déjà très fort. (Et croyez-moi, des anecdotes dans...