112 : Things we lock away
C’est un peu énervant. Vous regardez un épisode captivant qui pose plein de nouvelles questions intéressantes et paf-le-chien, le lendemain, on vous annule la série. En bonne sériephile éclairée, vous entendez déjà votre cerveau vous hurler : « Naaaaaan, ne t’investis plus émotionnellement dans cette sériiiie, regarde-la et commente-la avec le regard froid du boucher qui découpe une escaloooope ! »
Oué, eh ben c’est pas facile !
Du coup je suis frustrée de tous les côtés. Je n’ai pas envie de finir la série sur plein de questions sans réponses, en même temps, je ne vais pas arrêter à cinq épisodes de la fin, ce serait trop la honte et j’ai quand même envie de rendre cet hommage aux acteurs et à ceux qui ont forgé Caprica. Mais comme d’habitude, ça fait suer.
C’est un peu énervant. Vous regardez un épisode captivant qui pose plein de nouvelles questions intéressantes et paf-le-chien, le lendemain, on vous annule la série. En bonne sériephile éclairée, vous entendez déjà votre cerveau vous hurler : « Naaaaaan, ne t’investis plus émotionnellement dans cette sériiiie, regarde-la et commente-la avec le regard froid du boucher qui découpe une escaloooope ! » Oué, eh ben c’est pas facile ! Du coup je suis frustrée de tous les côtés. Je n’ai pas envie de finir la série sur plein de questions sans réponses, en même temps, je ne vais pas arrêter à cinq épisodes de la fin, ce serait trop la honte et j’ai quand même envie de rendre cet hommage aux acteurs et à ceux qui ont forgé Caprica. Mais comme d’habitude, ça fait...
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