106 : The man in the wall
Ca doit en laisser plus d’un sur le derche, mais rien à faire, j’aime bien cette série. Elle me repose, elle satisfait mes instincts les plus cracras (« Ooooh, un cadavre en décomposition ! Ooooh, des asticots qui grouillent !!! »), ça eyefucke sévère, bref, elle me fait oublier mes misères. Et j’aime bien Bones, autiste et handicapée sociale.
D’ailleurs, c’est pas de bol, parce que pour UNE fois qu’Angela réussit à la traîner en boîte, non seulement elle cause une bagarre – c’est clair qu’utiliser le mot « tribal » n’était pas très heureux – mais en plus, en dérouillant un importun, elle découvre un cadavre momifié (yiiiii ! ) coincé dans une cloison…
Ca doit en laisser plus d’un sur le derche, mais rien à faire, j’aime bien cette série. Elle me repose, elle satisfait mes instincts les plus cracras (« Ooooh, un cadavre en décomposition ! Ooooh, des asticots qui grouillent !!! »), ça eyefucke sévère, bref, elle me fait oublier mes misères. Et j’aime bien Bones, autiste et handicapée sociale. D’ailleurs, c’est pas de bol, parce que pour UNE fois qu’Angela réussit à la traîner en boîte, non seulement elle cause une bagarre – c’est clair qu’utiliser le mot « tribal » n’était pas très heureux – mais en plus, en dérouillant un importun, elle découvre un cadavre momifié (yiiiii ! ) coincé dans une...
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