Ce soir, avec la Cécé, on s’est fait la fin de la saison 2 de BSG. Ben putain. Mes gorets.
Sérieux, c’est à se flinguer. Un an et demi après, bien sûr que je le vois venir, le One Year Later. Pire encore, je l’anticipe, j’en tremble d’avance. Limite quand ils font péter le Cloud Nine, je tape de la patte en grognant « plus viiiiiite ».
Implacable, c’est le seul mot qui me vient à l’esprit.
Et pour ceux qui ont vu la saison 3, clicky clicky, qu’on en recause.
Ce soir, avec la Cécé, on s’est fait la fin de la saison 2 de BSG. Ben putain. Mes gorets. Sérieux, c’est à se flinguer. Un an et demi après, bien sûr que je le vois venir, le One Year Later. Pire encore, je l’anticipe, j’en tremble d’avance. Limite quand ils font péter le Cloud Nine, je tape de la patte en grognant « plus viiiiiite ». Implacable, c’est le seul mot qui me vient à l’esprit. Et pour ceux qui ont vu la saison 3, clicky clicky, qu’on en recause. D’abord, quelle splendide ironie que Tory et Saul, cylons devant l’éternel, fassent tout pour faire gagner la présidente et empêcher la colonisation de New Caprica. Quelle logique absolue alors qu’il n’était pas prévu encore qu’ils en soit. Quelle intelligence dans la manière de laisser des portes ouvertes. Quelle logique, encore, que Tigh rechigne tant à s’installer sur la planète. Quelle terrible fatalité que ce soit le pauvre Felix, tellement soucieux du bien, qui soit l’artisan du malheur des coloniaux en...
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