307 : A measure of salvation
Samedi matin
Ah, que j’aime les samedis matin… Quand la gueule total in ze ass je me lève aux aurores pour aller à la pêche au BSG… Cette foutue série me sort du lit avec une fulgurance, faut le voir pour le croire, à peine l’oeil ouvert et le rêve (le plus souvent le cauchemar, d’ailleurs) évaporé, je trotte d’un pas approximatif jusqu’à Bill, mon ordichéri (tiens, je devrais le poser près de mon lit, ce con, j’aurais même pas besoin de me lever, suis-je bête) pour lui donner mes ordres. Et une fois le devoir accompli, je me repieute avec délice en regardant s’égréner les minutes qui vont me conduire vers la félicité. Sauf que pas aujourd’hui, parce que ronondidjudenondidju, je bosse. C’est quand même pas de bol ! Pire encore ! Je me rends compte qu’en décembre, je bosse TROIS samedis ! Intolérable, révoltant, inhumain. Moralité, j’ai maté cet épisode entre deux mouillettes et le nez dans le bol de kawa. Honteux.
Samedi matin Ah, que j’aime les samedis matin… Quand la gueule total in ze ass je me lève aux aurores pour aller à la pêche au BSG… Cette foutue série me sort du lit avec une fulgurance, faut le voir pour le croire, à peine l’oeil ouvert et le rêve (le plus souvent le cauchemar, d’ailleurs) évaporé, je trotte d’un pas approximatif jusqu’à Bill, mon ordichéri (tiens, je devrais le poser près de mon lit, ce con, j’aurais même pas besoin de me lever, suis-je bête) pour lui donner mes ordres. Et une fois le devoir accompli, je me repieute avec délice en regardant s’égréner les minutes qui vont me conduire vers la félicité. Sauf que pas aujourd’hui, parce que ronondidjudenondidju, je bosse. C’est quand même pas de bol ! Pire encore ! Je me rends compte qu’en décembre, je bosse TROIS samedis ! Intolérable, révoltant, inhumain. Moralité, j’ai maté cet épisode entre deux mouillettes et le nez dans le bol de kawa....
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