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The face of the enemy : webisode five

(Oui, bon, ceci devait être une review de Doctor Who, mais le fait est que j’ai juste pas le temps. Demain, j’essaye. Je ne vous promets rien. C’est ricrac, cette fin d’année. Pareil pour House, c’est vraiment trop just entre les voyages, les réveillons et les copines qui débarquent pour trois jours, youhouuu !)

Aloooooors. Ben dites donc. Je crois qu’on peut être sûrs d’au moins une chose, après ce webisode. Ptain, les saute-au-paf que c’est, ces numéros huit ! Sérieux ! Elles se sont tout tapé ou presque ! Allez, il reste qui ? Le vieux ? Tigh ? Attendez, la série n’est pas encore finie !!!

(Oui, bon, ceci devait être une review de Doctor Who, mais le fait est que j’ai juste pas le temps. Demain, j’essaye. Je ne vous promets rien. C’est ricrac, cette fin d’année. Pareil pour House, c’est vraiment trop just entre les voyages, les réveillons et les copines qui débarquent pour trois jours, youhouuu !) Aloooooors. Ben dites donc. Je crois qu’on peut être sûrs d’au moins une chose, après ce webisode. Ptain, les saute-au-paf que c’est, ces numéros huit ! Sérieux ! Elles se sont tout tapé ou presque ! Allez, il reste qui ? Le vieux ? Tigh ? Attendez, la série n’est pas encore finie...

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The face of the enemy : webisode four

Ouh là ! Ca devient bien glauque, leur affaire !
Déjà, un cadavre à bord. Youpi, c’est la fête du slibard, dans notre joyeux raptor.
Devant le corps encore chaud de la pauvre Eight, ça commence à se regarder de travers. Mais comment ça se fait donc que la pince n’avait plus d’isolant ?
Réponse : a parti tout seul.

Sweet Eight : Or someone didn’t like the idea of a machine breathing their air.

Voilà, merci d’être venue.
Ca se met à gueuler comme des putois alors que deux minutes avant, on leur demandait justement de ne pas parler trop fort. Ah bravo.

Ouh là ! Ca devient bien glauque, leur affaire ! Déjà, un cadavre à bord. Youpi, c’est la fête du slibard, dans notre joyeux raptor. Devant le corps encore chaud de la pauvre Eight, ça commence à se regarder de travers. Mais comment ça se fait donc que la pince n’avait plus d’isolant ? Réponse : a parti tout seul. Sweet Eight : Or someone didn’t like the idea of a machine breathing their air. Voilà, merci d’être venue. Ca se met à gueuler comme des putois alors que deux minutes avant, on leur demandait justement de ne pas parler trop fort. Ah...

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The face of the enemy : webisode three

Ah, tiens. On n’avait jamais eu droit à « dix petits nègres dans un raptor ». C’est amusant, comme concept.

Bon, évidemment, en deux minutes 36, pas grand-chose à se mettre sous la dent. Et pourtant, ça m’a retourné comme une chaussette quand Felix, se penchant vers Sweet Eight, murmure « You’re her »…

Et que…

Bite me.

Le fantôme de New Caprica, encore et toujours. On a beau croire à chaque fois qu’on s’est débarrassé pour toujours de ces mauvais souvenirs, on finit toujours par y revenir tant il reste à explorer.
Et là, en l’occurrence, il reste des zones d’ombre dans les activités de Felix. Que Sweet Eight a l’air de beaucoup apprécier.

Ah, tiens. On n’avait jamais eu droit à « dix petits nègres dans un raptor ». C’est amusant, comme concept. Bon, évidemment, en deux minutes 36, pas grand-chose à se mettre sous la dent. Et pourtant, ça m’a retourné comme une chaussette quand Felix, se penchant vers Sweet Eight, murmure « You’re her »… Et que… Bite me. Le fantôme de New Caprica, encore et toujours. On a beau croire à chaque fois qu’on s’est débarrassé pour toujours de ces mauvais souvenirs, on finit toujours par y revenir tant il reste à explorer. Et là, en l’occurrence, il reste des zones d’ombre dans les activités de Felix. Que Sweet Eight a l’air de beaucoup...

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Posted by on Déc 21, 2008 in Battlestar Galactica épisodes | 1 comment

The face of the enemy : webisode two

Eh ben mon Felix, je crois pouvoir affirmer sans trop me tromper que tu as une grosse vie de merde !

Je n’ai pas tout compris à leur problème, en revanche, j’ai compris ceci : « We don?EUR(TM)t know where the fleet is, and if we did, we couldn?EUR(TM)t go there. »

D’accord, donc, c’est un peu caca, leur histoire. Avec ça que le Felix, il souffre le martyr, le pauvre, il ferait pleurer un tas de cailloux, à sursauter et à cramponner ses précieuses doses de morphine.

Eh ben mon Felix, je crois pouvoir affirmer sans trop me tromper que tu as une grosse vie de merde ! Je n’ai pas tout compris à leur problème, en revanche, j’ai compris ceci : « We don?EUR(TM)t know where the fleet is, and if we did, we couldn?EUR(TM)t go there. » D’accord, donc, c’est un peu caca, leur histoire. Avec ça que le Felix, il souffre le martyr, le pauvre, il ferait pleurer un tas de cailloux, à sursauter et à cramponner ses précieuses doses de...

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The face of the enemy : webisode one

Ca y gniiiiieeeeest !!! *trépigne* Enfin presque. Disons qu’on entame les amuse-gueule avant de se taper le grand dîner à douze plats. Mais quand même. Bon, mais d’abord les formules d’usage. Si vous cherchez ce premier webisode de la saison 4.5, il est ici sur Youtube (merci Snake). Et j’en profite pour remercier Holdi de son précieux envoi hier soir. Bon, je ne vous cache pas que je suis inquiète. D’abord, surprise, hello, neuf jours qu’ils ont trouvé la Terre et ils sont tous encore là-haut comme des cons ? Ils n’ont pas encore trouvé le moyen d’en faire un eldorado avec des jolies plantes vertes partout et tout ? Ah les manches ! Ah les propres à rien ! Ah les losers ! Et soi-disant que Felixou « will find himself here » ? Alors… c’est gentil mais la formulation laisse à désirer. Dans le contexte, je suis partie d’un grand rire hennissant en imaginant Felix tomber sur une copie conforme de lui-même en balbutiant « this isn’t happening ». Cette série rend dingue. Enfin quoi qu’il soit...

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410 : Revelations

Allez, hop, à chaud, à bouillant, même, vite, vite, sans deuxième visionnage de peur que celui-ci n’efface mes premières impressions. Oh my God… Voilà une review qui m’a coûté cher en sacs à main et lunettes de soleil.

(Ben quoi, faut bien se remonter le moral comme on peut.)

Pffff… que dire de cette série qui n’a pas déjà été dit ?
Là, ce qui est merveilleux, c’est que c’est du factuel, du début à la fin. Pas ou peu de mythologie, de devinettes. De l’action, de la réaction, de la grosse vérité dans ta tête, de la manipulation… C’est bien simple, dès la première seconde, on retient son souffle et on ne le relâche qu’après l’extraordinaire scène de fin, peut-être la plus belle et la plus triste de toute la série. Quel épisode, nom d’un chien. Quel épisode.

Allez, hop, à chaud, à bouillant, même, vite, vite, sans deuxième visionnage de peur que celui-ci n’efface mes premières impressions. Oh my God… Voilà une review qui m’a coûté cher en sacs à main et lunettes de soleil. (Ben quoi, faut bien se remonter le moral comme on peut.) Pffff… que dire de cette série qui n’a pas déjà été dit ? Là, ce qui est merveilleux, c’est que c’est du factuel, du début à la fin. Pas ou peu de mythologie, de devinettes. De l’action, de la réaction, de la grosse vérité dans ta tête, de la manipulation… C’est bien simple, dès la première seconde, on retient son souffle et on ne le relâche qu’après l’extraordinaire scène de fin, peut-être la plus belle et la plus triste de toute la série. Quel épisode, nom d’un chien. Quel...

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