Uh…
Ca fait beaucoup de cochonnes, d’un seul coup !
Ca fait beaucoup de cochonnes, d’un seul...
La SuiteCa fait beaucoup de cochonnes, d’un seul coup !
Ca fait beaucoup de cochonnes, d’un seul...
La SuiteC’est atroce. J’ai l’impression d’assister à la mort lente et inexorable de ma Veronica adorée. Kristen Bell a beau être toujours aussi délicieuse, la série a perdu presque tout ce qui faisait son charme. La voir réduite d’une part à l’enquête du jour (comme on choisirait son petit menu à la brasserie du coin) et d’autre part aux feux de l’amour à Hearst College, ça me fait vraiment beaucoup de peine. Cette série, c’était tellement plus, à l’origine. Bien sûr, ces petites enquêtes et les déboires amoureux de l’héroïne ont toujours fait partie du lot, mais où sont passés les brillants personnages secondaires ? Et la tension dramatique ? Et l’enjeu ? On déchante de plus en plus, au fur et à mesure que le personnage lui-même semble de plus en plus désincarné. C’est triste.
C’est atroce. J’ai l’impression d’assister à la mort lente et inexorable de ma Veronica adorée. Kristen Bell a beau être toujours aussi délicieuse, la série a perdu presque tout ce qui faisait son charme. La voir réduite d’une part à l’enquête du jour (comme on choisirait son petit menu à la brasserie du coin) et d’autre part aux feux de l’amour à Hearst College, ça me fait vraiment beaucoup de peine. Cette série, c’était tellement plus, à l’origine. Bien sûr, ces petites enquêtes et les déboires amoureux de l’héroïne ont toujours fait partie du lot, mais où sont passés les brillants personnages secondaires ? Et la tension dramatique ? Et l’enjeu ? On déchante de plus en plus, au fur et à mesure que le personnage lui-même semble de plus en plus désincarné. C’est...
La SuiteMadre de dios !
Mais qu’est-ce qu’ils nous font, là ? Chuis paumée, moi !
Et pour commencer, je me suis demandée pourquoi Rebecca R. s’était choisie une robe de cette couleur atroce.
Et ensuite, j’ai compris.
Bref, voilà histoire de m’échauffer.
Bon, je ne suis pas du genre patiente ni compatissante, en ce moment, donc le voyage spirituel de mademoiselle pour découvrir qu’elle doit retourner dare-dare à NYC pour récupérer cette buse de Henry, euh…
Evidemment, ce n’est pas désagréable de découvrir la famille du côté d’Ignacio… enfin, ils n’ont pas l’air dans la misère, non plus… Et puis il y a des têtes connues…
Madre de dios ! Mais qu’est-ce qu’ils nous font, là ? Chuis paumée, moi ! Et pour commencer, je me suis demandée pourquoi Rebecca R. s’était choisie une robe de cette couleur atroce. Et ensuite, j’ai compris. Bref, voilà histoire de m’échauffer. Bon, je ne suis pas du genre patiente ni compatissante, en ce moment, donc le voyage spirituel de mademoiselle pour découvrir qu’elle doit retourner dare-dare à NYC pour récupérer cette buse de Henry, euh… Evidemment, ce n’est pas désagréable de découvrir la famille du côté d’Ignacio… enfin, ils n’ont pas l’air dans la misère, non plus… Et puis il y a des têtes...
La SuiteJ’ai tout tenté. Les envoultes, les massacres de poulet vierge par nuit de pleine lune, les poupées vaudous. Rien à faire, je n’arrive pas à dire du mal de cet épisode. D’ailleurs, les deux derniers que j’ai vus sont bons. Et celui-ci est d’une force émotionnelle assez remarquable.
Alors, évidemment, les tendres roucoulades de Sawyer et Kate (qui nous fait chier avec ses histoires qu’elle peut pas dormir sous sa tente à lui, mon Dieu, chérie, ferme un peu ton claque-merde, si c’est pour dire des conneries tellement connes que finalement, on les anticipe avec une facilité gerbante). Je ne pensais pas pouvoir aimer ce Sawyer un peu utilisé mais qui finalement se laisse manipuler de bonne grâce. Eh ben si, je l’adore, même.
J’ai tout tenté. Les envoultes, les massacres de poulet vierge par nuit de pleine lune, les poupées vaudous. Rien à faire, je n’arrive pas à dire du mal de cet épisode. D’ailleurs, les deux derniers que j’ai vus sont bons. Et celui-ci est d’une force émotionnelle assez remarquable. Alors, évidemment, les tendres roucoulades de Sawyer et Kate (qui nous fait chier avec ses histoires qu’elle peut pas dormir sous sa tente à lui, mon Dieu, chérie, ferme un peu ton claque-merde, si c’est pour dire des conneries tellement connes que finalement, on les anticipe avec une facilité gerbante). Je ne pensais pas pouvoir aimer ce Sawyer un peu utilisé mais qui finalement se laisse manipuler de bonne grâce. Eh ben si, je l’adore,...
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