Intéressant…
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La SuiteAllez, il fallait que je la poste, elle est tellement kromignonne cette scène. Déjà, ne serait-ce que Bones en fâcheuse posture (ah là, on fait plus sa maligne qui n’a peur de rien, hein ?), la douloureuse galopade de Booth qu’on en a mal pour lui, le hug qui fait un mal de chien (ouch, la clavicule cassée !), le petit côté romantique qui va faire soupirer toutes les gonzesses même les plus couillues… allez, qui n’aimerait pas être sauvée comme ça, un tout petit peu sur les bords ?
Allez, il fallait que je la poste, elle est tellement kromignonne cette scène. Déjà, ne serait-ce que Bones en fâcheuse posture (ah là, on fait plus sa maligne qui n’a peur de rien, hein ?), la douloureuse galopade de Booth qu’on en a mal pour lui, le hug qui fait un mal de chien (ouch, la clavicule cassée !), le petit côté romantique qui va faire soupirer toutes les gonzesses même les plus couillues… allez, qui n’aimerait pas être sauvée comme ça, un tout petit peu sur les bords...
La SuiteAh, petit épisode bien sympatoche boosté au peyotl !
Déjà, sortir un peu de D.C., ça fait du bien. Ensuite, quand le mort du jour touche de près un de nos personnages principaux, c’est bon aussi.
Et pour commencer, j’ai bien rigolé quand Hodgins se pourlèche les babines devant les photos de vacances d’Angela.
Ensuite, pas de bol, les vacances d’Angela sont un peu écourtées par la disparition de son copain photographe dans le désert. Et comme on lui dépose gentiment un crâne devant sa porte, elle a bien peur qu’il s’agisse du copain. Ni une ni deux, Bones prend l’avion, découvre que le crâne est celui d’un mec qui a été descendu par balle, et appelle bien vite son agent du FBI préféré dont elle ne peut, de toute évidence, plus se passer.
Ah, petit épisode bien sympatoche boosté au peyotl ! Déjà, sortir un peu de D.C., ça fait du bien. Ensuite, quand le mort du jour touche de près un de nos personnages principaux, c’est bon aussi. Et pour commencer, j’ai bien rigolé quand Hodgins se pourlèche les babines devant les photos de vacances d’Angela. Ensuite, pas de bol, les vacances d’Angela sont un peu écourtées par la disparition de son copain photographe dans le désert. Et comme on lui dépose gentiment un crâne devant sa porte, elle a bien peur qu’il s’agisse du copain. Ni une ni deux, Bones prend l’avion, découvre que le crâne est celui d’un mec qui a été descendu par balle, et appelle bien vite son agent du FBI préféré dont elle ne peut, de toute évidence, plus se...
La SuiteYESSSS !
Alors là, pardon, mais je suis trop douée. Ah ça, côté enquêtes, j’assure pas un cachou, mais quand on parle de cohérence générale, je me pose un peu là. Franchement, je suis fière de moi. Cf. ma note précédente où j’ai tout bien compris ce qu’il fallait qu’il se passe. Ptain, sérieux, je suis DOUEE !
Cerise sur le gâtal, alors que Bones drague éhontément sur le net (on n’a pas idée de faire ça quand on a tout ce qu’il faut sous la main), qui c’est que je vois débarquer :
YESSSS ! Alors là, pardon, mais je suis trop douée. Ah ça, côté enquêtes, j’assure pas un cachou, mais quand on parle de cohérence générale, je me pose un peu là. Franchement, je suis fière de moi. Cf. ma note précédente où j’ai tout bien compris ce qu’il fallait qu’il se passe. Ptain, sérieux, je suis DOUEE ! Cerise sur le gâtal, alors que Bones drague éhontément sur le net (on n’a pas idée de faire ça quand on a tout ce qu’il faut sous la main), qui c’est que je vois...
La SuiteC’était prévisible, après l’épisode 15, forcément, le soufflé retombe. D’abord, la transition n’est pas facile, et d’ailleurs, il n’y a même pas de transition, c’est mieux comme ça.
Ensuite, c’est sympa de faire un épisode sur les gens qui vivent « sous » la ville, mais là pour le coup, ça donne une atmosphère trop bizarre. Le « maul-man » interrogé dans la pièce suréclairée où il passe son temps à cligner des yeux, la journaliste qui a fait sa chute fatale… enfin bon, finalement, à part le cadavre complètement éclaté et les rats, c’est pas très sexy.
C’était prévisible, après l’épisode 15, forcément, le soufflé retombe. D’abord, la transition n’est pas facile, et d’ailleurs, il n’y a même pas de transition, c’est mieux comme ça. Ensuite, c’est sympa de faire un épisode sur les gens qui vivent « sous » la ville, mais là pour le coup, ça donne une atmosphère trop bizarre. Le « maul-man » interrogé dans la pièce suréclairée où il passe son temps à cligner des yeux, la journaliste qui a fait sa chute fatale… enfin bon, finalement, à part le cadavre complètement éclaté et les rats, c’est pas très...
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