212 : The man in the cell
Ah, enfin ! Je l’ai mérité, celui-là ! Vingt-quatre heures de pause, j’en pouvais plus !
Ce qui m’amène à une constatation terrifiante : j’entame la dernière ligne droite. Encore une poignée d’épisodes et ce sera fini jusqu’à la rentrée. Ce qui me fait peur, c’est que ça m’avait fait pareil pour Prison Break et pour Veronica, et au final, tout s’est dégonflé comme un soufflet. Ce qui me rassure un peu, c’est qu’à cette époque de la saison deux, VM avait déjà bien du mal à maintenir le rythme. Je ne parle même pas de la navrante tournure qu’a pris Prison Break (que je finirai peut-être quand j’aurai épuisé tout ce que la télé a de bon à m’offrir). Là, je n’ai rien à redire. Bones tient grave la route. Elle est de ces personnages à la fois forts et tendres, tout comme Veronica, d’ailleurs, qu’on regarde souffrir avec d’autant plus de compassion et de compréhension. Qu’on a envie d’accompagner. Je croise les doigts pour que ça dure.
Ah, enfin ! Je l’ai mérité, celui-là ! Vingt-quatre heures de pause, j’en pouvais plus ! Ce qui m’amène à une constatation terrifiante : j’entame la dernière ligne droite. Encore une poignée d’épisodes et ce sera fini jusqu’à la rentrée. Ce qui me fait peur, c’est que ça m’avait fait pareil pour Prison Break et pour Veronica, et au final, tout s’est dégonflé comme un soufflet. Ce qui me rassure un peu, c’est qu’à cette époque de la saison deux, VM avait déjà bien du mal à maintenir le rythme. Je ne parle même pas de la navrante tournure qu’a pris Prison Break (que je finirai peut-être quand j’aurai épuisé tout ce que la télé a de bon à m’offrir). Là, je n’ai rien à redire. Bones tient grave la route. Elle est de ces personnages à la fois forts et tendres, tout comme Veronica, d’ailleurs, qu’on regarde souffrir avec d’autant plus de compassion et de compréhension. Qu’on a envie d’accompagner. Je croise les doigts pour que ça...
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