210 : Failure to communicate
Arf arf arf, que c’est bon. Que c’est bon de voir House, d’abord, montrer l’étendue de son talent, même à distance. Et que c’est bon, également, de voir tomber toutes ses barrières dès le moment où Stacy prononce ces deux mots : « chambre d’hôtel ».
Du grand House, dans cet épisode. Après le « boohoo » de bâtard de l’épisode précédent, voir du House sentimentaliser à mort, ça fait du bien. Difficile pour nous de trouver des répères, décidément. Mais bon, on ne va pas s’en plaindre. C’est aussi cela qui est agréable, avec cette série. Etre ballottés comme des merdes en attendant de découvrir ce qu’on attend de nous, au fil de chaque épisode. Et heureusement pour nous, on est encore loin d’avoir fait le tour du personnage. J’ai rarement vu un lascar aussi complexe dans une série, honnêtement. Une saison et demie, tout de même, et j’ai toujours toutes les peines à le cerner.
Arf arf arf, que c’est bon. Que c’est bon de voir House, d’abord, montrer l’étendue de son talent, même à distance. Et que c’est bon, également, de voir tomber toutes ses barrières dès le moment où Stacy prononce ces deux mots : « chambre d’hôtel ». Du grand House, dans cet épisode. Après le « boohoo » de bâtard de l’épisode précédent, voir du House sentimentaliser à mort, ça fait du bien. Difficile pour nous de trouver des répères, décidément. Mais bon, on ne va pas s’en plaindre. C’est aussi cela qui est agréable, avec cette série. Etre ballottés comme des merdes en attendant de découvrir ce qu’on attend de nous, au fil de chaque épisode. Et heureusement pour nous, on est encore loin d’avoir fait le tour du personnage. J’ai rarement vu un lascar aussi complexe dans une série, honnêtement. Une saison et demie, tout de même, et j’ai toujours toutes les peines à le...
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