Salve, mes bons amis, salve.
Déjà, je tiens à vous tenir informés de mon état de malade : en voie de guérison, même si on ne peut pas dire que les matins chantent. Je reste donc sur mes gardes, d’autant que la Bête guette. Elle a pris hier la forme de nombreux coups de fil en provenance du boulot, ce qui m’a valu quelques vertiges de stress.
Désormais totalement libérée du joug professionnel (croisons les doigts), je compte bien profiter des *regarde sa montre* quelques cent trente heures de répit qu’il me reste. Enfin, en slalomant allègrement entre les hypermarchés surchargés et la confection de la bûche de Noël qui me revient de droit depuis environ 13 ans.
Bref.
En préparant ma valise mercredi, j’ai beaucoup réfléchi à ce que j’emmènerais. J’ai opté pour Deadwood, Twin Peaks, la saison 7 de The West Wing (déjà bien entamée, je suis insatiable), la saison 5 de Sex and the City (malgré tout) et… et je me suis dit qu’il me fallait ma dose de BSG, j’ai donc enfourné l’Official Companion de la saison 3.
Bien m’en prit.
J’imagine que dans la salle d’attente de l’aéroport, j’ai dû avoir l’air d’une vraie débile mentale en me bidonnant devant mon iPhone (« Chief, get your fat lazy ass up here ! »), puis en déballant cet ouvrage bénit. On s’en tape.
Adoncques en ouvrant la chose, quelle ne fut pas mon heureuse surprise. Cette fois, l’auteur du préambule n’est autre que… le Bamber de ces dames, il Bamberino himself, l’homme qui tire plus vite que son ombre, celui qui en un regard vous met trois fois enceinte.
Je me suis délectée de sa prose. Pour sûr celui-là n’a pas fait des études de chimie quantique, pour cela, il écrit mille fois trop bien.
Je ne résiste pas à l’envie de vous la faire partager. Enjoy.
Et ne pleurez pas, les filles. Rien que l’idée que ce genre d’homme puisse exister rend notre vie ici-bas bien plus douce, non ?
Salve, mes bons amis, salve. Déjà, je tiens à vous tenir informés de mon état de malade : en voie de guérison, même si on ne peut pas dire que les matins chantent. Je reste donc sur mes gardes, d’autant que la Bête guette. Elle a pris hier la forme de nombreux coups de fil en provenance du boulot, ce qui m’a valu quelques vertiges de stress. Désormais totalement libérée du joug professionnel (croisons les doigts), je compte bien profiter des *regarde sa montre* quelques cent trente heures de répit qu’il me reste. Enfin, en slalomant allègrement entre les hypermarchés surchargés et la confection de la bûche de Noël qui me revient de droit depuis environ 13 ans. Bref. En préparant ma valise mercredi, j’ai beaucoup réfléchi à ce que j’emmènerais. J’ai opté pour Deadwood, Twin Peaks, la saison 7 de The West Wing (déjà bien entamée, je suis insatiable), la saison 5 de Sex and the City (malgré tout) et… et je me suis dit qu’il me fallait ma...
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