Comme je le laissais entendre dans l’épisode précédent, faire campagne pour la présidentielle, c’est savoir ménager la chèvre et le chou. Et dans le cas d’Arnie Vinick, faire campagne contre le premier candidat latino de l’histoire des Etats-Unis, c’est aussi ne pas pour autant renier le vote des basanés qui jusqu’à présent lui a toujours porté bonheur. Sauf que là, c’est pas si simple.
Coup de projecteur, donc, sur la campagne Vinick. Si dans le dernier épisode, on a mis le nez dans les petits problèmes de la campagne de Matt Santos, côté républicain, ça ne glisse pas forcément comme dans du beurre non plus.
Comme je le laissais entendre dans l’épisode précédent, faire campagne pour la présidentielle, c’est savoir ménager la chèvre et le chou. Et dans le cas d’Arnie Vinick, faire campagne contre le premier candidat latino de l’histoire des Etats-Unis, c’est aussi ne pas pour autant renier le vote des basanés qui jusqu’à présent lui a toujours porté bonheur. Sauf que là, c’est pas si simple. Coup de projecteur, donc, sur la campagne Vinick. Si dans le dernier épisode, on a mis le nez dans les petits problèmes de la campagne de Matt Santos, côté républicain, ça ne glisse pas forcément comme dans du beurre non...
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