109 : The empty child
Comment décrire la magnificence de cette série ? Non parce que franchement, les deux épisodes qui viennent sont mais… pfff… pas de mots. Flippants à mort, beaux à pleurer, tristes comme pas possible… et drôles, avec ça.
Car nous tombons sur un nouveau personnage qui vaut son pesant de euh… de… de capotes à la banane !
Captain Jack, donc. Ptain, Captain Jack… Mais où sont-ils allés le chercher, celui-là ? Est-ce qu’ils se sont dits que ça manquait un peu de gauloiserie, là-dedans ? Parce que jusque là, c’était sacrément sage. Mais alors, ce beau gosse au sourire canaille qui lance des oeillades assassines à tout ce qui porte jupon et qui claque les fesses des messieurs, euh… j’adore, bien entendu !
Comment décrire la magnificence de cette série ? Non parce que franchement, les deux épisodes qui viennent sont mais… pfff… pas de mots. Flippants à mort, beaux à pleurer, tristes comme pas possible… et drôles, avec ça. Car nous tombons sur un nouveau personnage qui vaut son pesant de euh… de… de capotes à la banane ! Captain Jack, donc. Ptain, Captain Jack… Mais où sont-ils allés le chercher, celui-là ? Est-ce qu’ils se sont dits que ça manquait un peu de gauloiserie, là-dedans ? Parce que jusque là, c’était sacrément sage. Mais alors, ce beau gosse au sourire canaille qui lance des oeillades assassines à tout ce qui porte jupon et qui claque les fesses des messieurs, euh… j’adore, bien...
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