Voilà un très très bel épisode. Et très triste. Oh, pas parce que la belle meurt à la fin, on commence à avoir l’habitude. Mais plutôt parce que l’histoire est une très jolie métaphore de ce que doit être la vie d’un Time Lord. Regarder grandir, entre deux galopades, une belle inconnue. S’attacher à elle et la voir tomber amoureuse. Etre soi-même charmé. Courir, toujours. La sauver. Et puis un jour, la voir mourir, trop tôt, ou trop tard, au choix. Sans avoir vraiment le temps d’approfondir quoique ce soit. Parce que le temps est relatif, et parce qu’à l’échelle d’un Time Lord, une vie humaine, ça doit durer l’équivalent de 45 minutes. Et puis la pleurer, un petit peu. Avant de repartir. C’est d’une tristesse et d’une implacabilité terribles.
Voilà un très très bel épisode. Et très triste. Oh, pas parce que la belle meurt à la fin, on commence à avoir l’habitude. Mais plutôt parce que l’histoire est une très jolie métaphore de ce que doit être la vie d’un Time Lord. Regarder grandir, entre deux galopades, une belle inconnue. S’attacher à elle et la voir tomber amoureuse. Etre soi-même charmé. Courir, toujours. La sauver. Et puis un jour, la voir mourir, trop tôt, ou trop tard, au choix. Sans avoir vraiment le temps d’approfondir quoique ce soit. Parce que le temps est relatif, et parce qu’à l’échelle d’un Time Lord, une vie humaine, ça doit durer l’équivalent de 45 minutes. Et puis la pleurer, un petit peu. Avant de repartir. C’est d’une tristesse et d’une implacabilité...
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