401 : He that believeth in me
Eh bien voilà, nous y sommes. Après m’être réveillée à quatre heures du mat’ en sursaut (« non, ce n’est pas encore l’heure, tu peux te rendormir »), déniché le bazar, lancé le bouzin, dézippé le truc, je me suis retrouvée comme une poule devant un couteau. « Tiens ! Si je rangeais les captures d’écran de « Voyage of the damned » ! Tiens, et si j’en profitais pour nettoyer le bureau de Bill ! »
C’est fou ce qu’on peut trouver comme excuses pour reculer encore l’échéance fatale. Jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rien à faire. C’est parti mon kiki. Avec la bloblote qui va bien parce que merde, ça fait un an qu’on attend ça, qu’on le fantasme, ce premier épisode. Au point de se faire du mal, d’ailleurs.
Eh bien voilà, nous y sommes. Après m’être réveillée à quatre heures du mat’ en sursaut (« non, ce n’est pas encore l’heure, tu peux te rendormir »), déniché le bazar, lancé le bouzin, dézippé le truc, je me suis retrouvée comme une poule devant un couteau. « Tiens ! Si je rangeais les captures d’écran de « Voyage of the damned » ! Tiens, et si j’en profitais pour nettoyer le bureau de Bill ! » C’est fou ce qu’on peut trouver comme excuses pour reculer encore l’échéance fatale. Jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rien à faire. C’est parti mon kiki. Avec la bloblote qui va bien parce que merde, ça fait un an qu’on attend ça, qu’on le fantasme, ce premier épisode. Au point de se faire du mal,...
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