Bande annonce "Escape Velocity"
Personne ne va la regarder, mais tant pis, je la poste quand même. C’est celle de Sky One…
Personne ne va la regarder, mais tant pis, je la poste quand même. C’est celle de Sky...
La SuitePersonne ne va la regarder, mais tant pis, je la poste quand même. C’est celle de Sky One…
Personne ne va la regarder, mais tant pis, je la poste quand même. C’est celle de Sky...
La SuiteLa brunette ne vous dit rien ?
La brunette ne vous dit...
La Suite« At last, they?EUR(TM)ve come for me. I feel their lives, their destinies spilling out before me. The denial of the one true path, played out on a world not their own, will end soon enough. Soon there will be four, glorious in awakening, struggling with the knowledge of their true selves, the pain of revelation bringing new clarity, and in the midst of confusion, he will find her. Enemies brought together by impossible longing, enemies now joined as one. The way forward at once unthinkable, yet inevitable. And the fifth, still in shadow, will claw toward the light, hungering for redemption that will only come in the howl of terrible suffering. I can see them all. The seven, now six, self-described machines who believe themselves without sin, but in time, it is sin that will consume them. They will know enmity, bitterness, the wrenching agony of the one splintering into the many, and then they will join the promised-land, gathered on the wings of an angel. Not an end, but a beginning. »
« At last, they?EUR(TM)ve come for me. I feel their lives, their destinies spilling out before me. The denial of the one true path, played out on a world not their own, will end soon enough. Soon there will be four, glorious in awakening, struggling with the knowledge of their true selves, the pain of revelation bringing new clarity, and in the midst of confusion, he will find her. Enemies brought together by impossible longing, enemies now joined as one. The way forward at once unthinkable, yet inevitable. And the fifth, still in shadow, will claw toward the light, hungering for redemption that will only come in the howl of terrible suffering. I can see them all. The seven, now six, self-described machines who believe themselves without sin, but in time, it is sin that will consume them. They will know enmity, bitterness, the wrenching agony of the one splintering into the many, and then they will join the promised-land, gathered on the wings of an angel. Not an end,...
La SuiteAllez, quelques captures du Confidential de la semaine, parce que comme je m’en doutais, je me suis tellement bidonnée en voyant David T. s’arnacher de partout et se jeter par terre pour la scène avec la papatte géante (rajoutée numériquement) que je ne peux pas résister…
Hop, les coudières de compète…
Et badadam !
(Cela dit, il est sacrément agile, l’animal, parce que c’est pas évident, ce qu’il fait. En même temps, il faut bien que ça ait quelques avantages d’être gaulé comme un adolescent de treize ans.)
Allez, quelques captures du Confidential de la semaine, parce que comme je m’en doutais, je me suis tellement bidonnée en voyant David T. s’arnacher de partout et se jeter par terre pour la scène avec la papatte géante (rajoutée numériquement) que je ne peux pas résister… Hop, les coudières de compète… Et badadam ! (Cela dit, il est sacrément agile, l’animal, parce que c’est pas évident, ce qu’il fait. En même temps, il faut bien que ça ait quelques avantages d’être gaulé comme un adolescent de treize...
La SuiteJe me pose un paquet de questions au sujet de Sam Tyler, ces derniers jours. Jusqu’à présent, il ne m’avait que peu effleuré qu’il puisse être question d’autre chose que d’un coma. Et puis avec les deux derniers épisodes de la saison 1, je me dis que si ça se trouve, il est bel et bien devenu fou, pas d’une folie incurable ou de celle qui vous envoie définitivement à l’asile, mais voilà… peut-être que tout gentil et équilibré qu’il soit, il traverse une phase totalement démente mais indispensable… et que pour en sortir, il n’a d’autre solution que trouver des réponses à toutes les questions qu’il se pose inconsciemment. Ca a l’air con et je ne l’exprime peut-être pas correctement, mais il me semble que chacun d’entre nous passe à un moment donné par là, et l’aventure de Sam en 1973 pourrait très bien n’être qu’une énorme métaphore de cette phase de transition qu’on traverse parfois et durant laquelle on se pose mille questions existentielles, notamment qui suis-je, qu’est-ce que je fous là, qu’est-ce que je veux vraiment, et plein d’autres que je ne nommerai pas car en tant que trentenaire légèrement azimutée, ce sont aussi un peu les miennes.
J’ai un peu l’impression que c’est à ce genre de question que Sam essaye de répondre. Et qu’elles deviennent de plus en plus cruciales et profondes à chaque épisode. Que chaque enquête dévoile un pan de sa personnalité dont il n’est peut-être pas conscient, que ses choix pointent tous vers une chose : la personne qu’il est vraiment.
Je me dis qu’en fait, le coma pourrait très bien être une métaphore à l’intérieur de la métaphore.
Au fond, d’ailleurs, ça ne change pas grand-chose. J’ai simplement l’impression que si Sam ne parvient pas à rentrer chez lui pour l’instant, c’est qu’il ne le veut pas. Ou qu’il n’a pas encore les vraies réponses qui lui sont nécessaires. Un peu comme Alice qui un coup n’a pas la bonne clé et un coup n’a pas la bonne taille. Une fois que Sam aura les deux, il pourra rentrer chez lui. Qu’il rentre chez lui en sortant du coma ou d’une crise de folie passagère, finalement, c’est pareil.
Je me pose un paquet de questions au sujet de Sam Tyler, ces derniers jours. Jusqu’à présent, il ne m’avait que peu effleuré qu’il puisse être question d’autre chose que d’un coma. Et puis avec les deux derniers épisodes de la saison 1, je me dis que si ça se trouve, il est bel et bien devenu fou, pas d’une folie incurable ou de celle qui vous envoie définitivement à l’asile, mais voilà… peut-être que tout gentil et équilibré qu’il soit, il traverse une phase totalement démente mais indispensable… et que pour en sortir, il n’a d’autre solution que trouver des réponses à toutes les questions qu’il se pose inconsciemment. Ca a l’air con et je ne l’exprime peut-être pas correctement, mais il me semble que chacun d’entre nous passe à un moment donné par là, et l’aventure de Sam en 1973 pourrait très bien n’être qu’une énorme métaphore de cette phase de transition qu’on traverse parfois et durant laquelle on se pose mille questions existentielles, notamment qui suis-je,...
La Suite« cours la sorcière, cours, ça donne bonne mine »
(Désolée, j’étais au boulot quand ceci a été commis, donc pas de capture… Ca n’en reste pas moins collector.)
« cours la sorcière, cours, ça donne bonne mine » (Désolée, j’étais au boulot quand ceci a été commis, donc pas de capture… Ca n’en reste pas moins...
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