Trois chiffres : 66 minutes. 295 captures d’écran. 20 minutes de sanglots incoercibles.
Plus de larmes encore que pour Doomsday. On pensait que ce n’était pas possible, mais si. Russell T. Davies l’a fait. Il a fait mieux que Doomsday. L’enfoiré.
Ah, si j’étais seule, je me referais cet épisode trois fois de suite tellement c’était merveilleux. Merveilleux, c’est ça que j’ai répété plusieurs fois pendant le visionnage et après, encore sous le choc. Incroyablement fort, jouissif, hystérique, survolté. On a trouvé l’el Dorado du geek, les gars, et c’est cet épisode.
Trois chiffres : 66 minutes. 295 captures d’écran. 20 minutes de sanglots incoercibles. Plus de larmes encore que pour Doomsday. On pensait que ce n’était pas possible, mais si. Russell T. Davies l’a fait. Il a fait mieux que Doomsday. L’enfoiré. Ah, si j’étais seule, je me referais cet épisode trois fois de suite tellement c’était merveilleux. Merveilleux, c’est ça que j’ai répété plusieurs fois pendant le visionnage et après, encore sous le choc. Incroyablement fort, jouissif, hystérique, survolté. On a trouvé l’el Dorado du geek, les gars, et c’est cet...
La Suite