Réplique du jour
« My home planet is far away and long since gone. But its name lives on… Gallifrey. »
(The Doctor, Doctor Who)
« My home planet is far away and long since gone. But its name lives on… Gallifrey. » (The Doctor, Doctor...
La Suite« My home planet is far away and long since gone. But its name lives on… Gallifrey. »
(The Doctor, Doctor Who)
« My home planet is far away and long since gone. But its name lives on… Gallifrey. » (The Doctor, Doctor...
La SuiteHeeeeem. Malgré mon fort attachement à ces meurtriers qui se croient tout puissants et qui tuent parce que, vous comprenez, j’ai la classe, moi… difficile de ne pas sauter sur mes petits pieds et de leur hurler à tous qu’ils sont quand même un peu des gros benêts, et qu’il faudrait peut-être qu’ils aillent s’acheter une culture. Au moins qu’ils révisent leurs classiques au lieu de se la péter justiciers no-life à l’oeil et à la truffe humides.
Heeeeem. Malgré mon fort attachement à ces meurtriers qui se croient tout puissants et qui tuent parce que, vous comprenez, j’ai la classe, moi… difficile de ne pas sauter sur mes petits pieds et de leur hurler à tous qu’ils sont quand même un peu des gros benêts, et qu’il faudrait peut-être qu’ils aillent s’acheter une culture. Au moins qu’ils révisent leurs classiques au lieu de se la péter justiciers no-life à l’oeil et à la truffe...
La SuiteTrès honnêtement, je n’ai pas trop trop aimé cet épisode. Atlantic City, 1997, deux jeunes cons qui veulent devenir les maîtres du monde… d’entrée de jeu, ça sent le meurtre par le cousin dont le rire hennissant est bien trop nerveux pour ne pas être suspect.
(Lilly est de mon avis.)
En plus, on nous embrouille notre race avec cette histoire de tueur en série, auquel finalement le meurtre du jour n’est pas lié, mais qu’on finit quand même par arrêter… bref, c’est un peu dense. Surtout quand comme moi, on aime regarder ce genre de trucs à minuit passé. (Vous avez le droit de penser que je ne suis pas nette.)
Très honnêtement, je n’ai pas trop trop aimé cet épisode. Atlantic City, 1997, deux jeunes cons qui veulent devenir les maîtres du monde… d’entrée de jeu, ça sent le meurtre par le cousin dont le rire hennissant est bien trop nerveux pour ne pas être suspect. (Lilly est de mon avis.) En plus, on nous embrouille notre race avec cette histoire de tueur en série, auquel finalement le meurtre du jour n’est pas lié, mais qu’on finit quand même par arrêter… bref, c’est un peu dense. Surtout quand comme moi, on aime regarder ce genre de trucs à minuit passé. (Vous avez le droit de penser que je ne suis pas...
La Suite… ou bien les photos promo de Fringe, ça pourrait être celles d’un long-métrage à succès ? (Mon bon monsieur Abrams, c’est pas tout de faire de la belle pub, nous vous attendons au tournant, vous en êtes conscient.)
Et surveillez bien Joshua Jackson, parce que l’an prochain, s’il est sage et qu’il fait bien son boulot, il a toutes les chances de se retrouver ici. Mais entre les Brits et les retardataires, la concurrence risque d’être rude. Mmmmh…
… ou bien les photos promo de Fringe, ça pourrait être celles d’un long-métrage à succès ? (Mon bon monsieur Abrams, c’est pas tout de faire de la belle pub, nous vous attendons au tournant, vous en êtes conscient.) Et surveillez bien Joshua Jackson, parce que l’an prochain, s’il est sage et qu’il fait bien son boulot, il a toutes les chances de se retrouver ici. Mais entre les Brits et les retardataires, la concurrence risque d’être rude....
La SuiteOui, voilà, mon état ce matin, à peu de choses près. Après une nuit très courte par définition puisque réveil à 5h30 (ce qui fait de moi la lauréate du prix « 15 août de la louze »), et ô joie, entrecoupée par les (nombreux) réveils de ma cavalière nocturne, c’est-à-dire la fille de mon amie partie accoucher.
Inquiète enfant qui m’a secouée cinq ou six fois pour me demander si ça faisait mal d’avoir un bébé (« non, ma chérie, pas plus que d’enfiler des perles… oh, c’est une couleuvre qui vient de passer ? »), si elle allait tout de suite pouvoir jouer à la dînette avec sa petite soeur (« bien sûr, biquette, et si tu insistes un peu, je suis sûre qu’elle te fera tes devoirs »), et si la petite soeur allait pleurer beaucoup (« certainement pas, trésor, tous les bébés ne sont pas d’horribles teignes capricieuses comme l’insupportable bébé-cylon du dessus »).
Et comme je me rendormais à 4h15, le chien des voisins s’est mis à hurler à la mort. Jusqu’à ce que je claque la porte à 6h45.
Oui, voilà, mon état ce matin, à peu de choses près. Après une nuit très courte par définition puisque réveil à 5h30 (ce qui fait de moi la lauréate du prix « 15 août de la louze »), et ô joie, entrecoupée par les (nombreux) réveils de ma cavalière nocturne, c’est-à-dire la fille de mon amie partie accoucher. Inquiète enfant qui m’a secouée cinq ou six fois pour me demander si ça faisait mal d’avoir un bébé (« non, ma chérie, pas plus que d’enfiler des perles… oh, c’est une couleuvre qui vient de passer ? »), si elle allait tout de suite pouvoir jouer à la dînette avec sa petite soeur (« bien sûr, biquette, et si tu insistes un peu, je suis sûre qu’elle te fera tes devoirs »), et si la petite soeur allait pleurer beaucoup (« certainement pas, trésor, tous les bébés ne sont pas d’horribles teignes capricieuses comme l’insupportable bébé-cylon du dessus »). Et comme je me rendormais à 4h15, le chien des voisins s’est mis à hurler à la mort. Jusqu’à...
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