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Discours de la méthode: je chasse donc je suis, partie 2 – la loi du plus fort

Nous retrouvons notre prédateur dans ce qui est donc censé être la phase finale de sa chasse: la curée. La proie, piégée et acculée, sait que son sort est scellé. Il n’y a plus qu’à passer à la mise à mort et au dépeçage, rien que de très naturel et banal! Y’a du p’tit rouquin au déjeuner!! On croit le Reese vainqueur, enfin récompensé de ses heures de surveillance et de traque, et prêt à se sustenter. Seulement, voilà, un autre animal entre dans la danse: le Granfraire. Notre prédateur comprend tout de suite l’ampleur de son erreur. Voyez son visage, nul besoin de paroles pour ressentir son désespoir et son muet appel au secours. Le Granfraire, tel le lion arrivant sur le lieu d’un duel phacochère / babouin, redistribue complètement les forces en présence. La situation bascule: le Reese, de prédateur, devient une proie facile pour un Granfraire à l’allonge redoutable. Bizarrement, le Reese aussi possède son Granfraire personnel (je vous passe l’image, hein…) mais celui-ci n’intervient pas...

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Humeur du jour

Aujourd’hui, lecteur, je vais te parler d’un phénomène proprement hallucinant : le stress qui donne faim.
C’est bien simple, quand je suis chez moi, jamais je ne boulotte quoi que ce soit entre les repas. (A part le goûter, mais hé, hein, oh, le goûter, c’est un repas !)
Eh ben quand je suis au taf, ce lieu de perdition audiovisuel où tout le monde court en tous sens en piaillant à qui mieux-mieux (oui, même les couillus), j’ai la dent que c’est pas croyable. Et pratiquement tout le temps. C’est-à-dire qu’à peine arrivée et installée, j’ai déjà envie de becter. Mais genre des crampes de faim !
Avec ça que chez nous, le repas, c’est à 13h15 bien sonnées et que du coup, faut faire la queue à la cantoche et donc PARLER aux gens. C’est scandaleux. Moi, je ne peux pas tenir une conversation et avoir faim en même temps.

Aujourd’hui, lecteur, je vais te parler d’un phénomène proprement hallucinant : le stress qui donne faim. C’est bien simple, quand je suis chez moi, jamais je ne boulotte quoi que ce soit entre les repas. (A part le goûter, mais hé, hein, oh, le goûter, c’est un repas !) Eh ben quand je suis au taf, ce lieu de perdition audiovisuel où tout le monde court en tous sens en piaillant à qui mieux-mieux (oui, même les couillus), j’ai la dent que c’est pas croyable. Et pratiquement tout le temps. C’est-à-dire qu’à peine arrivée et installée, j’ai déjà envie de becter. Mais genre des crampes de faim ! Avec ça que chez nous, le repas, c’est à 13h15 bien sonnées et que du coup, faut faire la queue à la cantoche et donc PARLER aux gens. C’est scandaleux. Moi, je ne peux pas tenir une conversation et avoir faim en même...

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Posted by on Sep 17, 2008 in Humeur du jour | 11 comments

Discours de la méthode: je chasse donc je suis, partie 1 – la traque

(Merci René D. pour ce titre.) Nous allons décortiquer ici un processus naturel pour tout animal carnivore, et pourtant fort complexe à maîtriser. Comme j’ai un peu de mal à décrypter l’analyse situationnelle d’une lionne en planque ou les prises de décisions d’un guépard à l’affût, il va falloir se rabattre sur un autre type d’animal. Heureusement, les séries télé volent à notre secours! Nous possédons à l’écran un spécimen -parlant, de surcroît- parfaitement intermédiaire entre la complète rationalisation humaine (je pense donc je suis, R Descartes, le discours de la méthode, tout ça tout ça…) et le pur instinct animal: le Reese… Voilà donc notre prédateur. Vous remarquez tout de suite un excellent démarrage: le choix du poste d’observation. Le Reese a choisi une position à l’écart, en surplomb, et masquée par des éléments naturels. Visiblement, la position est idéale, permet de repérer le troupeau de proies en toute quiétude. Un bon point pour le Reese, dont ce n’est manifestement pas la première sortie en terrain naturel. On...

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A.P. de la normalité: Malcolm in the Middle

Dans les épisodes de Malcolm in the middle, il y a beaucoup d’humour, de vulgarité, de grotesque, et de politiquement incorrect. C’est avant tout une série irrévérencieuse et absurde, mais un vrai propos n’est jamais loin. Bien caché derrière les personnages excentriques, il y a une dénonciation sociétale ou une réflexion tendre sur les relations humaines. C’est le cas ici, où au milieu d’une fête d’école qui tourne à la farce, on entrevoit le débat intérieur de Malcolm. Voilà que ses deux mondes se rencontrent: le monde de la pensée et de l’intellect, bien cantonné à sa classe de « Krelboynes », et sa famille, excellant dans le franc-parler grossier et la moquerie cruelle. Les voilà donc, bien peu à leur place dans cette présentation d’exploits scientifiques, comme des poissons hors de l’eau. Mais c’est bien leur fils sur le podium, qu’ils ne connaissent qu’à travers le prisme partiel de son comportement à la maison. C’est cela, pour eux, le Malcolm « normal ». Seulement voilà, dans cet environnement des Krelboynes, ce qui...

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Humeur du jour

Aujourd’hui, je récupère mes deux blondes ! Youpiiiiii !

(Une raison de plus pour le Dark Side de me faire une scène ? )

Aujourd’hui, je récupère mes deux blondes ! Youpiiiiii ! (Une raison de plus pour le Dark Side de me faire une scène ?...

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Posted by on Sep 16, 2008 in Humeur du jour | 18 comments

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