505 : Mirror, mirror
Irréprochable, ce début de saison 5. Avec cet épisode, on renoue définitivement avec ce que la série a su faire de mieux au cours de son existence. La maîtrise des flashbacks est parfaite, et Dieu sait que c’est un exercice difficile où la plus petite erreur prend des proportions éléphantesques. Là, pas d’erreur, c’est Lesieur. Ca fonctionne à la perfection. La réalisation est formidable, le jeu de miroir intelligent, et on manie avec une délicatesse infinie le drama et le comique. Bref, c’est du grand Desperate, du Desperate qui fait plaisir.
(Mais où ont-ils acheté leurs nouveaux scénaristes, qu’on envoie les mêmes chez Heroes ? )
Irréprochable, ce début de saison 5. Avec cet épisode, on renoue définitivement avec ce que la série a su faire de mieux au cours de son existence. La maîtrise des flashbacks est parfaite, et Dieu sait que c’est un exercice difficile où la plus petite erreur prend des proportions éléphantesques. Là, pas d’erreur, c’est Lesieur. Ca fonctionne à la perfection. La réalisation est formidable, le jeu de miroir intelligent, et on manie avec une délicatesse infinie le drama et le comique. Bref, c’est du grand Desperate, du Desperate qui fait plaisir. (Mais où ont-ils acheté leurs nouveaux scénaristes, qu’on envoie les mêmes chez Heroes ?...
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