(Vous m’aidez pas, hein, franchement.)
Mais bon… honnêtement, entre le beau sauvageon qui s’habille de peaux de bêtes, qui monte à cru au péril de ses parties sensibles, qui passe la moitié de la série à être chaud comme la braise, qui danse avec les loups et les nuages, et qui lance le tomahawk comme personne de préférence torse nu, et papa Ingalls qui est bien gentil, qui vous scie un tronc d’arbre à la vitesse de la lumière mais qui à trente-cinq ans en paraît soixante-dix avec deux douzaines de mouflets à charge (enfin je ne sais plus, j’ai arrêté de compter), il me semble qu’il n’y a pas PHO-TO. En tout cas, pour moi, en 1993, y avait pas PHO-TO.
(Vous m’aidez pas, hein, franchement.) Mais bon… honnêtement, entre le beau sauvageon qui s’habille de peaux de bêtes, qui monte à cru au péril de ses parties sensibles, qui passe la moitié de la série à être chaud comme la braise, qui danse avec les loups et les nuages, et qui lance le tomahawk comme personne de préférence torse nu, et papa Ingalls qui est bien gentil, qui vous scie un tronc d’arbre à la vitesse de la lumière mais qui à trente-cinq ans en paraît soixante-dix avec deux douzaines de mouflets à charge (enfin je ne sais plus, j’ai arrêté de compter), il me semble qu’il n’y a pas PHO-TO. En tout cas, pour moi, en 1993, y avait pas...
La Suite