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Humeur du jour

Ou quand une paire de lunettes devient maîtresse du monde.
Non mais franchement, ces lunettes, c’est du délire. J’ai jamais vu ça !
Depuis que je les ai, les gens m’arrêtent dans la rue pour me dire qu’elles sont beeeelles, qu’elles me vont bieeeeen ! Les vendeuses me SUIVENT dans les magasins en précisant que non, non, ne vous inquiétez pas, hein, c’est pas que je vous fixe pour vous draguer, c’est juste que vos lunettes sont tellement jolies et que vous les portez tellement bien ! (Euh, vous êtes sûre, parce que je vous trouve quand même un peu bizarre, madame.)

Ou quand une paire de lunettes devient maîtresse du monde. Non mais franchement, ces lunettes, c’est du délire. J’ai jamais vu ça ! Depuis que je les ai, les gens m’arrêtent dans la rue pour me dire qu’elles sont beeeelles, qu’elles me vont bieeeeen ! Les vendeuses me SUIVENT dans les magasins en précisant que non, non, ne vous inquiétez pas, hein, c’est pas que je vous fixe pour vous draguer, c’est juste que vos lunettes sont tellement jolies et que vous les portez tellement bien ! (Euh, vous êtes sûre, parce que je vous trouve quand même un peu bizarre,...

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Posted by on Août 21, 2009 in Humeur du jour | 9 comments

110 : Safe

« Just when you thought things couldn’t get any weirder… »

Tu m’étonnes, mon petit Peter !
Gros épisode, on peut le dire… Ze épisode qui a enfoncé le clou, en ce qui me concerne. On peut assez facilement passer à côté des infos capitales qui sont parsemées dans ces quarante et quelques minutes, sauf que ce jour-là, exceptionnellement, j’étais presque attentive !

Faut dire que ça démarre très fort avec un fantasme siouuupeuuurbe : celui du passe-muraille. Exceptionnellement, pas de petite fille à nom de chat à l’horizon, non… Dans Fringe, c’est une machine qui permet de traverser les murs, par exemple pour vider un ou des coffre-forts. Voilà qui est fort commode !

« Just when you thought things couldn’t get any weirder… » Tu m’étonnes, mon petit Peter ! Gros épisode, on peut le dire… Ze épisode qui a enfoncé le clou, en ce qui me concerne. On peut assez facilement passer à côté des infos capitales qui sont parsemées dans ces quarante et quelques minutes, sauf que ce jour-là, exceptionnellement, j’étais presque attentive ! Faut dire que ça démarre très fort avec un fantasme siouuupeuuurbe : celui du passe-muraille. Exceptionnellement, pas de petite fille à nom de chat à l’horizon, non… Dans Fringe, c’est une machine qui permet de traverser les murs, par exemple pour vider un ou des coffre-forts. Voilà qui est fort...

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Posted by on Août 20, 2009 in Fringe | 1 comment

109 : The dreamscape

Petit à petit, Fringe entre vraiment dans ma vie de sériphile et ça, c’est chouette…
Il y a vraiment des scènes surréalistes et qu’on est sûr de ne voir nulle part ailleurs. L’attaque des papillons tueurs, par exemple. C’est pas énorme, ça ? Si. Franchement, c’est du nawak de chez nawak et pourtant, ça fait bien flipper.

Quand on arrive à rendre aussi flippant un truc aussi con, anodin et familier qu’un papillon, ben c’est déjà en partie gagné.
Et si cette scène nous glace, c’est peut-être un peu aussi parce que le pauvre gars se défenestre sauvagement et qu’on n’aime pas bien les gens qui se défenestrent du soixante-douzième étage. C’est pas très très agréable, et puis ça ne nous rappelle des souvenirs pas forcément très fun.

Petit à petit, Fringe entre vraiment dans ma vie de sériphile et ça, c’est chouette… Il y a vraiment des scènes surréalistes et qu’on est sûr de ne voir nulle part ailleurs. L’attaque des papillons tueurs, par exemple. C’est pas énorme, ça ? Si. Franchement, c’est du nawak de chez nawak et pourtant, ça fait bien flipper. Quand on arrive à rendre aussi flippant un truc aussi con, anodin et familier qu’un papillon, ben c’est déjà en partie gagné. Et si cette scène nous glace, c’est peut-être un peu aussi parce que le pauvre gars se défenestre sauvagement et qu’on n’aime pas bien les gens qui se défenestrent du soixante-douzième étage. C’est pas très très agréable, et puis ça ne nous rappelle des souvenirs pas forcément très...

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Posted by on Août 20, 2009 in Fringe | 8 comments

108 : The equation

Pas mal, pas mal. Complètement tiré par les couettes, mais pas mal. De toute façon, du moment qu’il y a un piano, forcément…

Bon, le fait qu’il y ait des maths aurait pu me perdre en route, mais même pas.
La scène d’entrée était assez prenante, le gamin assez mignon et la kidnappeuse assez flippante pour que ça m’emporte direct, et le coup des visions pour foutre la pression au mouflet, bien sympa, bien sympa.

Pas mal, pas mal. Complètement tiré par les couettes, mais pas mal. De toute façon, du moment qu’il y a un piano, forcément… Bon, le fait qu’il y ait des maths aurait pu me perdre en route, mais même pas. La scène d’entrée était assez prenante, le gamin assez mignon et la kidnappeuse assez flippante pour que ça m’emporte direct, et le coup des visions pour foutre la pression au mouflet, bien sympa, bien...

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Posted by on Août 20, 2009 in Fringe | 9 comments

107 : In which we meet Mr. Jones

En ce moment, je me fais bien plaisir devant Fringe. J’en suis déjà au… 112, je crois bien. Et je dois vous dire que j’ai trouvé le mystère mystérieux et tout ça. Enfin en partie. J’en ai parlé avec le Dark Side qui a vu toute la première saison et qui a répondu à mes questions sans y répondre et c’est bien ça. Uh uh.

Alors effectivement, passés les cinq premiers épisodes, ça devient bien sympathique. Et parfois bien dégueu. Genre là, le riant petit parasite qui s’installe chez un monsieur Loeb qui se trouve être le bon copain d’un certain Philip Broyles. (Très riant, lui aussi.)

En ce moment, je me fais bien plaisir devant Fringe. J’en suis déjà au… 112, je crois bien. Et je dois vous dire que j’ai trouvé le mystère mystérieux et tout ça. Enfin en partie. J’en ai parlé avec le Dark Side qui a vu toute la première saison et qui a répondu à mes questions sans y répondre et c’est bien ça. Uh uh. Alors effectivement, passés les cinq premiers épisodes, ça devient bien sympathique. Et parfois bien dégueu. Genre là, le riant petit parasite qui s’installe chez un monsieur Loeb qui se trouve être le bon copain d’un certain Philip Broyles. (Très riant, lui...

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Posted by on Août 20, 2009 in Fringe | 5 comments

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