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314 : The Einstein approximation

Obligée de me dépêcher de poster cette review, j’ai les Winchester qui tapent au carreau, dites donc.
Bon… c’était quoi, ce truc ???

Déjà, l’épisode super court (18 minutes au compteur) et ensuite… une seule intrigue, c’est un peu du jamais vu. Cela dit, je trouve aussi intéressant qu’on explore d’autres moyens d’exploiter le format. Seulement là, c’était vraiment très très bizarre. Pardoxalement, même si je me suis parfois un peu ennuyée, j’ai ri comme jamais je n’avais ri devant cette série. Mieux encore, j’ai trouvé Sheldon… canon. Oui, vraiment. Le Sheldon qui ne dort pas, hirsute, cerné, je l’ai trouvé hot-hot-hot.

Obligée de me dépêcher de poster cette review, j’ai les Winchester qui tapent au carreau, dites donc. Bon… c’était quoi, ce truc ??? Déjà, l’épisode super court (18 minutes au compteur) et ensuite… une seule intrigue, c’est un peu du jamais vu. Cela dit, je trouve aussi intéressant qu’on explore d’autres moyens d’exploiter le format. Seulement là, c’était vraiment très très bizarre. Pardoxalement, même si je me suis parfois un peu ennuyée, j’ai ri comme jamais je n’avais ri devant cette série. Mieux encore, j’ai trouvé Sheldon… canon. Oui, vraiment. Le Sheldon qui ne dort pas, hirsute, cerné, je l’ai trouvé...

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Posted by on Fév 3, 2010 in The Big Bang theory | 15 comments

512 : Swap meat

Booooon. Eh ben toujours pas d’Apocalypse à l’horizon, dites donc. C’est qu’on se ferait presque légèrement chier sur les bords si on n’était pas occupé à mater furieusement les deux frangins !
Hum hum. Trêve de plaisanterie. Je me suis endormie DEUX fois devant cet épisode. DEUX fois. Ce qui veut dire que je l’ai regardé en TROIS fois. Alors ok, j’ai une nuit quasi blanche dans les pattes, mais quand même. C’est pas super bon signe de piquer du pif devant SPN quand on est moi et qu’on trépigne toute la semaine en attendant la suite. Pas bon du tout.
Pourtant, ce n’est pas un mauvais épisode, au fond. C’est juste… un normal épisode. Mais comme ça fait deux mois et des brouettes qu’on attend que ça pétouille, ben… c’est dur.
Et j’aimerais bien revoir le petit Mischa et le grand Pellegrino. Ouaich, j’aimerais bien, à force.
Enfin ! On va se contenter de ce qu’on a parce qu’on n’est pas des ingrats et que c’est pas parce que ça mollit un peu qu’on va se décourager.
(Surtout que les bras de la Grande Tige ne ramollissent pas du tout, eux. Uh uh uh.)

Booooon. Eh ben toujours pas d’Apocalypse à l’horizon, dites donc. C’est qu’on se ferait presque légèrement chier sur les bords si on n’était pas occupé à mater furieusement les deux frangins ! Hum hum. Trêve de plaisanterie. Je me suis endormie DEUX fois devant cet épisode. DEUX fois. Ce qui veut dire que je l’ai regardé en TROIS fois. Alors ok, j’ai une nuit quasi blanche dans les pattes, mais quand même. C’est pas super bon signe de piquer du pif devant SPN quand on est moi et qu’on trépigne toute la semaine en attendant la suite. Pas bon du tout. Pourtant, ce n’est pas un mauvais épisode, au fond. C’est juste… un normal épisode. Mais comme ça fait deux mois et des brouettes qu’on attend que ça pétouille, ben… c’est dur. Et j’aimerais bien revoir le petit Mischa et le grand Pellegrino. Ouaich, j’aimerais bien, à force. Enfin ! On va se contenter de ce qu’on a parce qu’on n’est pas des ingrats et que c’est pas parce que ça...

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Posted by on Fév 1, 2010 in Supernatural | 8 comments

102 : Rebirth

Rah, enfin, je ne tenais plus ! Et fiou… je vous raconte pas la pression. C’est con, hein ? Ben oui, mais bon. C’est pas rien, quand même ! C’est Caprica, merde ! Et Caprica, nom d’un chien, c’est drôlement spé. Sérieux, à plusieurs reprises, je suis restée tout interdite. Genre : gné ? Cékoiça ?
Je pense qu’on n’a vraiment jamais vu un truc pareil à la télévision. Enfin moi, ça ne me rappelle absolument rien de ce que je connais, ou alors de loin. C’est tellement semblable à notre monde, mais en même temps tellement différent. C’est ça qui me fascine le plus, en fait, ces ressemblances et ces différences entre notre monde et celui de Caprica. Ah tiens, ils ont ça. Ah tiens, ils vont fumer de l’opium tranquille. Ce genre de trucs. Comme un reflet de nous, mais un peu déformé. Très bizarre.
Et puis il y a des passages qui m’ont laissée muette de consternation. L’hymne de Caprica, j’ai bien cru que j’allais en pisser de rire ! Ptain allez-y mollo, les mecs, parce que franchement sinon, on va finir par se marrer pendant tout le truc.
J’ai également eu du mal avec les passages de Zoe au robot, dans un premier temps. Je ne savais pas comment ils allaient gérer ça, au final, c’est évidemment ce qu’il y a de plus intelligent à faire : d’abord, ça coûte beaucoup moins cher de filmer Alessandra Torresani que de créer intégralement en images de synthèse un centurion, aussi splendide soit-il.

Rah, enfin, je ne tenais plus ! Et fiou… je vous raconte pas la pression. C’est con, hein ? Ben oui, mais bon. C’est pas rien, quand même ! C’est Caprica, merde ! Et Caprica, nom d’un chien, c’est drôlement spé. Sérieux, à plusieurs reprises, je suis restée tout interdite. Genre : gné ? Cékoiça ? Je pense qu’on n’a vraiment jamais vu un truc pareil à la télévision. Enfin moi, ça ne me rappelle absolument rien de ce que je connais, ou alors de loin. C’est tellement semblable à notre monde, mais en même temps tellement différent. C’est ça qui me fascine le plus, en fait, ces ressemblances et ces différences entre notre monde et celui de Caprica. Ah tiens, ils ont ça. Ah tiens, ils vont fumer de l’opium tranquille. Ce genre de trucs. Comme un reflet de nous, mais un peu déformé. Très bizarre. Et puis il y a des passages qui m’ont laissée muette de consternation. L’hymne de Caprica, j’ai bien cru que j’allais en pisser de rire ! Ptain allez-y mollo, les...

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Posted by on Jan 31, 2010 in Caprica | 14 comments

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