Vancouver 2, jour 3…

Décidément, un début de séjour marqué par son lot de tournages quotidiens.
Après l’annonce de la fin du tournage de la saison 2 de Fringe et sachant que Caprica, a priori, ne filme plus, on était presque résignés. Sauf que le lendemain du « flouff », alors que j’étais complètement à la ramasse… « oh, des câbles ! »
Eh oui, mieux encore que les camions blancs, les câbles. De bons gros câbles qui ne mentent jamais ! Pas plus que les faux taxis new yorkais, d’ailleurs, qui nous ont plongés dans une profonde perplexité. (De toute évidence, quand on veut vous emmener à NY, c’est taxis jaunes, vendeurs de hot-dogs, distributeurs de journaux et boîtes à lettres US obligatoires. On s’est demandé s’ils se les refilaient entre prods.)
On s’installe devant la cathédrale et on regarde la nuit tomber et le ballet se mettre en place. On voit passer une chaise marquée du nom de la série. Allez, je vous poste les photos, à vous de deviner. 😉

Décidément, un début de séjour marqué par son lot de tournages quotidiens. Après l’annonce de la fin du tournage de la saison 2 de Fringe et sachant que Caprica, a priori, ne filme plus, on était presque résignés. Sauf que le lendemain du « flouff », alors que j’étais complètement à la ramasse… « oh, des câbles ! » Eh oui, mieux encore que les camions blancs, les câbles. De bons gros câbles qui ne mentent jamais ! Pas plus que les faux taxis new yorkais, d’ailleurs, qui nous ont plongés dans une profonde perplexité. (De toute évidence, quand on veut vous emmener à NY, c’est taxis jaunes, vendeurs de hot-dogs, distributeurs de journaux et boîtes à lettres US obligatoires. On s’est demandé s’ils se les refilaient entre prods.) On s’installe devant la cathédrale et on regarde la nuit tomber et le ballet se mettre en place. On voit passer une chaise marquée du nom de la série. Allez, je vous poste les photos, à vous de deviner....

Vancouver Deux, jour 2…

Aloooors. C »est pas tout de faire péter les ouatures. Encore faut-il qu »il y ait quelque chose de l »autre côté, une chose appelée communément contrechamp. Eh bien le contrechamp de cette voiture qui fait hop, c »est mon pépé Spock ! Qui dégaine son flingue et badaboum l »auto !

Le lendemain de cette kiffante explosion, en repassant en début de soirée, pof, on tombe encore sur nos amis (rooooh, faut arrêter de nous harceler, maintenant !).

Et au bout de quelques minutes d »attente, qui c »est qu »on revoit débarquer pour le petit raccord make-up ?

Aloooors. C »est pas tout de faire péter les ouatures. Encore faut-il qu »il y ait quelque chose de l »autre côté, une chose appelée communément contrechamp. Eh bien le contrechamp de cette voiture qui fait hop, c »est mon pépé Spock ! Qui dégaine son flingue et badaboum l »auto ! Le lendemain de cette kiffante explosion, en repassant en début de soirée, pof, on tombe encore sur nos amis (rooooh, faut arrêter de nous harceler, maintenant !). Et au bout de quelques minutes d »attente, qui c »est qu »on revoit débarquer pour le petit raccord make-up...

Production-made…

Bon, si vous suivez ce blog, depuis plusieurs mois voire années, vous savez à peu près comment les différentes productions mettent au point des objets fictifs pour « faire comme si », étant donné que j’en ai parlé en long en large et en travers au moment des enchères de BSG… Là, en attendant qu’il se passe un peu d’action l’autre soir, sur Granville Street (le lendemain de l’explosion de la caisse puisque oui, ils étaient ENCORE là), on a trop déliré sur les petits détails qui ont transformé Vancouver en le New York du monde parallèle de Fringe. Franchement, si on n’avait pas été aussi polis, on se serait servi. Zyeutez plutôt ce qu’on va voir au cinéma, quand on vit dans le monde parallèle :

Bon, si vous suivez ce blog, depuis plusieurs mois voire années, vous savez à peu près comment les différentes productions mettent au point des objets fictifs pour « faire comme si », étant donné que j’en ai parlé en long en large et en travers au moment des enchères de BSG… Là, en attendant qu’il se passe un peu d’action l’autre soir, sur Granville Street (le lendemain de l’explosion de la caisse puisque oui, ils étaient ENCORE là), on a trop déliré sur les petits détails qui ont transformé Vancouver en le New York du monde parallèle de Fringe. Franchement, si on n’avait pas été aussi polis, on se serait servi. Zyeutez plutôt ce qu’on va voir au cinéma, quand on vit dans le monde...

Vancouver Deux, jour 1, part IV…

Bon, mais me diras-tu, lecteur, qu’est-ce qui était si cool, dans cette histoire de tournage ? Qu’est-ce qui peut être plus cool que Monsieur Spock ? Eh bien je vais te le dire. Ces derniers jours, Fringe a tourné son double épisode de fin de saison, d’ailleurs, ce soir, c’est fiesta de fin de tournage. (On est bien informés.)

Et comme une fin de saison, c’est toujours, hum, explosif, eh ben en traînant, traînant, et retraînant autour de tout ce petit monde sur les coups d’une heure du mat’, on nous a enfin confié qu’il fallait rester dans le coin… parce qu’il était question de FAIRE PETER UNE BAGNOLE, wouhouh, une vraie et tout avec des cascades et que c’est pépé Spock qui sort son flingue et BADABAM !

Bon, mais me diras-tu, lecteur, qu’est-ce qui était si cool, dans cette histoire de tournage ? Qu’est-ce qui peut être plus cool que Monsieur Spock ? Eh bien je vais te le dire. Ces derniers jours, Fringe a tourné son double épisode de fin de saison, d’ailleurs, ce soir, c’est fiesta de fin de tournage. (On est bien informés.) Et comme une fin de saison, c’est toujours, hum, explosif, eh ben en traînant, traînant, et retraînant autour de tout ce petit monde sur les coups d’une heure du mat’, on nous a enfin confié qu’il fallait rester dans le coin… parce qu’il était question de FAIRE PETER UNE BAGNOLE, wouhouh, une vraie et tout avec des cascades et que c’est pépé Spock qui sort son flingue et BADABAM...

Vancouver Deux, Jour 1, Part III…

A minuit, direction le lieu indiqué par notre informateur. Et là, ça se passe de commentaires… ma mâchoire est restée sur le trottoir de Granville Street quand j’ai vu mon cher Monsieur Spock débarquer pour tourner sa scène. (« Pan, pan ! »)

Et c’est pas tout. La nuit a été trèèèès longue ! Et trèèèèèès cool ! Non, je vous rassure tout de suite, on n’est pas allés fêter ça en boîte avec Leonard Nimoy après. Mais quand même.

(Ah, et la perruque rousse appartient à Anna Torv en treillis, Olivia version monde parallèle, suppose-je.)

A minuit, direction le lieu indiqué par notre informateur. Et là, ça se passe de commentaires… ma mâchoire est restée sur le trottoir de Granville Street quand j’ai vu mon cher Monsieur Spock débarquer pour tourner sa scène. (« Pan, pan ! ») Et c’est pas tout. La nuit a été trèèèès longue ! Et trèèèèèès cool ! Non, je vous rassure tout de suite, on n’est pas allés fêter ça en boîte avec Leonard Nimoy après. Mais quand même. (Ah, et la perruque rousse appartient à Anna Torv en treillis, Olivia version monde parallèle,...

Vancouver Deux, Jour 1, part II…

Alors déjà, tomber sur un tournage dès son arrivée, c’est cool. Mais c’est rien à côté de la coolness de la suite. Finis les petits tournages à la papa, y a du lourd qui arrive.
Forts de l’information fournie par notre informateur que nous ne nommerons pas histoire de rester en vie, nous voilà marchant en direction de notre hôtel (sur Granville, ça intéressera Soso qui versera une larmichette émue, d’autant qu’on est à trois sauts de puce poliote de l’Orpheum). Et là. Qu’est-ce qu’on voit ? Non mais qu’est-ce qu’on voit ? Ze Apocalypse itself. Non, pas celle de Supernatural (faut pas trop rêver, c’est pas souvent qu’ils tournent en pleine ville et la moitié des zodes sont dans le noir donc tournés de nuit), mais bien, encore une fois, celle de Fringe. A trois blocs de notre hôtel. Voyez plutôt le dawa qu’ils ont foutu. Et imaginez comment qu’on trépigne quand on voit ça de ses propres oeils.

Alors déjà, tomber sur un tournage dès son arrivée, c’est cool. Mais c’est rien à côté de la coolness de la suite. Finis les petits tournages à la papa, y a du lourd qui arrive. Forts de l’information fournie par notre informateur que nous ne nommerons pas histoire de rester en vie, nous voilà marchant en direction de notre hôtel (sur Granville, ça intéressera Soso qui versera une larmichette émue, d’autant qu’on est à trois sauts de puce poliote de l’Orpheum). Et là. Qu’est-ce qu’on voit ? Non mais qu’est-ce qu’on voit ? Ze Apocalypse itself. Non, pas celle de Supernatural (faut pas trop rêver, c’est pas souvent qu’ils tournent en pleine ville et la moitié des zodes sont dans le noir donc tournés de nuit), mais bien, encore une fois, celle de Fringe. A trois blocs de notre hôtel. Voyez plutôt le dawa qu’ils ont foutu. Et imaginez comment qu’on trépigne quand on voit ça de ses propres...