Allez, il est temps de rattraper la diff’. Un petit commentaire, donc, sur le dernier épisode avant la pause de mi-saison… c’est fou comme il me serait facile de dire que Caprica est ennuyeuse. Mais cette exploration de la souffrance, cette quête forcément vaine de trouver un semblant de réconfort chez ces personnages, pour la plupart dans le monde virtuel, ça m’étourdit d’aise. C’est fou comme j’aime les regarder souffrir, pas par sadisme mais plutôt parce que dans une certaine mesure, la vraie vie, c’est ça. C’est chercher ce qui va nous soulager de nos fardeaux pendant quelques précieuses secondes, minutes, heures… semaines, si on a de la chance. C’est oublier pendant une journée, une soirée, une heure qu’on est dans la merde jusqu’au cou ou qu’autour de vous, les gens tombent comme des mouches. C’est chercher un peu de réconfort chez ses amis ou dans les bras de quelqu’un qui vous montre un tant soit peu d’intérêt quand tout le monde semble vous tourner le dos.
Allez, il est temps de rattraper la diff’. Un petit commentaire, donc, sur le dernier épisode avant la pause de mi-saison… c’est fou comme il me serait facile de dire que Caprica est ennuyeuse. Mais cette exploration de la souffrance, cette quête forcément vaine de trouver un semblant de réconfort chez ces personnages, pour la plupart dans le monde virtuel, ça m’étourdit d’aise. C’est fou comme j’aime les regarder souffrir, pas par sadisme mais plutôt parce que dans une certaine mesure, la vraie vie, c’est ça. C’est chercher ce qui va nous soulager de nos fardeaux pendant quelques précieuses secondes, minutes, heures… semaines, si on a de la chance. C’est oublier pendant une journée, une soirée, une heure qu’on est dans la merde jusqu’au cou ou qu’autour de vous, les gens tombent comme des mouches. C’est chercher un peu de réconfort chez ses amis ou dans les bras de quelqu’un qui vous montre un tant soit peu d’intérêt quand tout le monde semble vous tourner le...
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