Rooooh…
Stuart déguisé en Docteur n° 4 !!!
Stuart déguisé en Docteur n° 4...
La Suite« Sorcière, et la nouvelle version de Camelot ? »
Chère lectrice, cher lecteur…
Il n’aura donc pas échappé à ta sagacité qu’une nouvelle série arthurienne s’inspirant de l’oeuvre de Thomas Mallory (et britonne !) s’apprête à voir le jour et que la diffusion devrait démarrer sous peu. Pour l’instant, je n’ai pas vu passer d’épisode, mais étant ouverte à tout (et gardant toujours à l’oeil des scénaristes tels que Chris Chibnall), je me ferai bien entendu un devoir d’y jeter un oeil.
Amitiés de la part de moi-même et de mes verrues,
Sorci
« Sorcière, et la nouvelle version de Camelot ? » Chère lectrice, cher lecteur… Il n’aura donc pas échappé à ta sagacité qu’une nouvelle série arthurienne s’inspirant de l’oeuvre de Thomas Mallory (et britonne !) s’apprête à voir le jour et que la diffusion devrait démarrer sous peu. Pour l’instant, je n’ai pas vu passer d’épisode, mais étant ouverte à tout (et gardant toujours à l’oeil des scénaristes tels que Chris Chibnall), je me ferai bien entendu un devoir d’y jeter un oeil. Amitiés de la part de moi-même et de mes verrues,...
La SuiteBon. Houston, nous avons un très gros problème avec SPN, en ce moment.
J’ai très vaguement envie de regarder… et alors plus du tout envie de commenter ! En fait, je passe dix minutes à peu près concentrée dessus, et après, j’ai beau essayer de me remobiliser, pfiout, je fais mes mails, je surfe, je lis les nouvelles… limite si je ne sors pas mon tricot !
Inutile de dire que pour produire des reviews, c’est pas gagné !
Je ne trouve pas les épisodes mauvais, je crois juste que je suis passée à autre chose, que je ne peux tout simplement plus me passionner pour cette série, qu’elle est trop usée comme c’est le cas de House, de Bones et de pas mal d’autres séries qui m’ont pourtant fait vibrer. Au bout de cinq ans de blog, voilà, c’est le constat que je peux en tirer : après cinq saisons, même mes séries préférées, je suis incapable de les suivre avec autant de frénésie qu’au début. On est sans doute tous un peu comme ça, mais là, j’avoue que ça me fiche un coup. Ah, inconstance… ton nom est Sorcière !
Bon. Houston, nous avons un très gros problème avec SPN, en ce moment. J’ai très vaguement envie de regarder… et alors plus du tout envie de commenter ! En fait, je passe dix minutes à peu près concentrée dessus, et après, j’ai beau essayer de me remobiliser, pfiout, je fais mes mails, je surfe, je lis les nouvelles… limite si je ne sors pas mon tricot ! Inutile de dire que pour produire des reviews, c’est pas gagné ! Je ne trouve pas les épisodes mauvais, je crois juste que je suis passée à autre chose, que je ne peux tout simplement plus me passionner pour cette série, qu’elle est trop usée comme c’est le cas de House, de Bones et de pas mal d’autres séries qui m’ont pourtant fait vibrer. Au bout de cinq ans de blog, voilà, c’est le constat que je peux en tirer : après cinq saisons, même mes séries préférées, je suis incapable de les suivre avec autant de frénésie qu’au début. On est sans doute tous...
La Suite« You know, Merlin, you’re the one Arthur should knight. You’re the bravest of us all and he doesn’t even know. »
(Lancelot, Merlin)
« You know, Merlin, you’re the one Arthur should knight. You’re the bravest of us all and he doesn’t even know. » (Lancelot,...
La Suite« Luke, I am your father. »
(Phil Dunphy, Modern family)
« Luke, I am your father. » (Phil Dunphy, Modern...
La SuiteBon ben voilà, encore un épisode que j’ai trouvé remarquablement dense, passionnant et solide… et addictif. Cette fois, on se penche un peu sur le cas de Curtis qui, comme je le soulignais dans mes précédentes reviews, possède un pouvoir vraiment bien casse-gueule d’un point de vue scénaristique. Etant donné le côté mâché/rabâché du voyage dans le temps quand on bouffe de la série à hautes doses, ça devient difficile de faire nouveau ou du moins de ne pas ressembler à toutes les autres fictions qui évoquent le sujet.
(En gros, difficile de ne pas se vautrer comme Heroes l’a fait.)
Bon ben voilà, encore un épisode que j’ai trouvé remarquablement dense, passionnant et solide… et addictif. Cette fois, on se penche un peu sur le cas de Curtis qui, comme je le soulignais dans mes précédentes reviews, possède un pouvoir vraiment bien casse-gueule d’un point de vue scénaristique. Etant donné le côté mâché/rabâché du voyage dans le temps quand on bouffe de la série à hautes doses, ça devient difficile de faire nouveau ou du moins de ne pas ressembler à toutes les autres fictions qui évoquent le sujet. (En gros, difficile de ne pas se vautrer comme Heroes l’a...
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