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Non, je ne veux pas savoir, je crois !
Non, je ne veux pas savoir, je...
La Suite« I, Laura Roslin, do now avow and affirm that I take the office of the president of the Twelve Colonies of Kobol, and that I will protect and defend the sovereignty of the Colonies with ever fibre of my being. »
(Laura Roslin, Battlestar Galactica)
« I, Laura Roslin, do now avow and affirm that I take the office of the president of the Twelve Colonies of Kobol, and that I will protect and defend the sovereignty of the Colonies with ever fibre of my being. » (Laura Roslin, Battlestar...
La SuiteMême sanction que pour la saison 1. Regardée avec beaucoup de plaisir et un brin de distance… malgré ça, une saison de Being Human, ça ne vous laisse pas totalement indemne. J’en ai un petit peu bavé, j’avoue. C’est une série brute, parfois cruelle, qui n’épargne rien. Ni à nous, ni aux personnages. Une série sans fards, qui continue à vous poursuivre après même si vous pensez ne pas avoir cédé à son réalisme. Et qui prend une tournure décidément très sombre.
Bref, c’est une série fantastique incroyablement sérieuse, avec très peu d’humour mais beaucoup de tendresse. Bouleversante d’humanité, quoi.
Mais c’est vrai qu’il vaut mieux avoir le moral.
Même sanction que pour la saison 1. Regardée avec beaucoup de plaisir et un brin de distance… malgré ça, une saison de Being Human, ça ne vous laisse pas totalement indemne. J’en ai un petit peu bavé, j’avoue. C’est une série brute, parfois cruelle, qui n’épargne rien. Ni à nous, ni aux personnages. Une série sans fards, qui continue à vous poursuivre après même si vous pensez ne pas avoir cédé à son réalisme. Et qui prend une tournure décidément très sombre. Bref, c’est une série fantastique incroyablement sérieuse, avec très peu d’humour mais beaucoup de tendresse. Bouleversante d’humanité, quoi. Mais c’est vrai qu’il vaut mieux avoir le...
La SuiteJe suis obligée de publier un billet sur cet épisode ne serait-ce que pour le dîner d’anniversaire… que j’ai trouvé génial ! La reum de Cuddy, nom d’un hanneton à roulettes, elle est à peu près aussi charmante que le Kraken !
D’un côté, Gregouille-la-Fripouille qui ha-llu-cine (c’est dire) devant ce que Jolie-Maman peut sortir comme gracieusetés à sa fille (qu’elle traite quasiment de roulure).
De l’autre, Cuddy qui d’une part s’en prend plein la poire…
… et de l’autre s’attend au pire en termes de représailles.
Je suis obligée de publier un billet sur cet épisode ne serait-ce que pour le dîner d’anniversaire… que j’ai trouvé génial ! La reum de Cuddy, nom d’un hanneton à roulettes, elle est à peu près aussi charmante que le Kraken ! D’un côté, Gregouille-la-Fripouille qui ha-llu-cine (c’est dire) devant ce que Jolie-Maman peut sortir comme gracieusetés à sa fille (qu’elle traite quasiment de roulure). De l’autre, Cuddy qui d’une part s’en prend plein la poire… … et de l’autre s’attend au pire en termes de...
La SuiteAprès deux premières saisons brillantes (mais ô combien plombantes) et un premier épisode de saison 3 complètement moisi, je m’étais promis de laisser passer cette décevante et très antipathique génération 2 et de revenir à Skins une fois celle-ci proprement dégagée, juste histoire de voir. Eh bien j’ai été agréablement surprise. D’abord, parce que ce n’est pas du tout un copier-coller de la première génération qui avait fait le succès de la série et que c’est assez intéressant, au bout de quatre saisons révolues, de tenter une autre approche. Ca peut aussi s’avérer casse-gueule, cela dit.
Ensuite et surtout… purée j’ai été soufflée par le talent de Dakota Machin.
Après deux premières saisons brillantes (mais ô combien plombantes) et un premier épisode de saison 3 complètement moisi, je m’étais promis de laisser passer cette décevante et très antipathique génération 2 et de revenir à Skins une fois celle-ci proprement dégagée, juste histoire de voir. Eh bien j’ai été agréablement surprise. D’abord, parce que ce n’est pas du tout un copier-coller de la première génération qui avait fait le succès de la série et que c’est assez intéressant, au bout de quatre saisons révolues, de tenter une autre approche. Ca peut aussi s’avérer casse-gueule, cela dit. Ensuite et surtout… purée j’ai été soufflée par le talent de Dakota...
La Suite(Oh mon Dieu, CET HOMME !)
Je crois que quelqu’un a un peu de mal à faire sa prise !
(Le genre de truc qui m’arrive tout le temps au théâtre. T’essayes de pas rire, tu te reprends douze fois, t’as le nez qui te gratte, tu laisses l’autre dire… mais non, rien à faire, tu finis par te marrer. Classic !)
(Oh mon Dieu, CET HOMME !) Je crois que quelqu’un a un peu de mal à faire sa prise ! (Le genre de truc qui m’arrive tout le temps au théâtre. T’essayes de pas rire, tu te reprends douze fois, t’as le nez qui te gratte, tu laisses l’autre dire… mais non, rien à faire, tu finis par te marrer. Classic...
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