Ouep…
J’aimerais bien. Par contre où caser ça ? Mmmmmh…
J’aimerais bien. Par contre où caser ça ?...
La SuiteJ’aimerais bien. Par contre où caser ça ? Mmmmmh…
J’aimerais bien. Par contre où caser ça ?...
La Suite« Oh dear, not the dirt people ! »
(Sheldon Cooper, The Big Bang theory)
« Oh dear, not the dirt people ! » (Sheldon Cooper, The Big Bang...
La Suite« My name is Annie Claire Sawyer, and two years ago, I died. In so many ways, that’s when my life began. In the company of horrors, I learned about friendship and loyalty, sacrifice and courage. Humanity isn’t a species. It’s a state of mind. It can’t be defeated. It moves mountains. It saves souls. We were blessed as much as we were cursed. In this little enclave with the lost, I witnessed the very best of being human. We were safe here, while outside the monsters prowled. » Hop, voilà ma première vraie review de Being Human. Une petite série que j’aime beaucoup, très humaine de par ses menus défauts et qui pose de façon très réaliste la question de l’humanité. Tellement réaliste que parfois, difficile d’aller se coucher juste après. Pour une fois, on représente sans fards la dure vie de vampire, de fantôme ou de loup-garou. Par les temps qui courent, ça nous change. Et pour commencer, j’ai envie de dire : JUST. DO. IT. Mais merde, quoi, ça...
La SuiteM’enfin… c’est fou, ça ! Je suis super étonnée par la tournure que semble prendre cette cinquième saison de Skins, moi ! C’est dingue un tel virage de la part de cette série jadis si sulfureuse. Perso, je ne m’en plains pas, je suis complètement abasourdie de lire des gens qui râlent parce que cette saison manque de sexe ou de drogues dures. Perso, après avoir suivi les deux premières saisons, s’il y a bien une chose dont je suis persuadée, c’est que ce n’est pas là qu’est l’âme de Skins, mais plutôt dans l’exploration des affres de l’adolescence… quelle qu’elle soit. Et si on a à faire à une couvée plus soft et moins extrême, le message peut être tout aussi fort, l’interprétation aussi magistrale et la réalisation aussi réussie. Tous les ados ne sont pas suicidaires, camés ou anorexiques, après tout.
Et de fait, étonnamment, je ne me suis pas ennuyée une seconde devant la rencontre inattendue entre le métalleux Cousin Machin et le petit Cygne crevé alias Felindra Tête-de-tigre.
M’enfin… c’est fou, ça ! Je suis super étonnée par la tournure que semble prendre cette cinquième saison de Skins, moi ! C’est dingue un tel virage de la part de cette série jadis si sulfureuse. Perso, je ne m’en plains pas, je suis complètement abasourdie de lire des gens qui râlent parce que cette saison manque de sexe ou de drogues dures. Perso, après avoir suivi les deux premières saisons, s’il y a bien une chose dont je suis persuadée, c’est que ce n’est pas là qu’est l’âme de Skins, mais plutôt dans l’exploration des affres de l’adolescence… quelle qu’elle soit. Et si on a à faire à une couvée plus soft et moins extrême, le message peut être tout aussi fort, l’interprétation aussi magistrale et la réalisation aussi réussie. Tous les ados ne sont pas suicidaires, camés ou anorexiques, après tout. Et de fait, étonnamment, je ne me suis pas ennuyée une seconde devant la rencontre inattendue entre le métalleux Cousin Machin et le petit Cygne crevé alias Felindra...
La Suite… pour cause d’insuffisance respiratoire sévère face aux premières photos du cast du Hobbit.
… pour cause d’insuffisance respiratoire sévère face aux premières photos du cast du...
La SuiteLa vision est terrible. Les premiers épisodes hilarants et absurdes de la saison 1 semblent appartenir à une autre série, ou du moins à un autre âge. Ce bouclage, il m’a souvent fait sourire tellement il est plein d’ironie. D’abord, comme c’est étrange qu’Astier mette un point final à Kaamelott version télé avec un épisode qui porte le titre de ce qui a été son ébauche : Dies Irae.
Ensuite, ce titre, jour de colère… il colle parfaitement à cet Arthur christique qui gît là parce qu’il n’arrive ni à vivre, ni à mourir.
La vision est terrible. Les premiers épisodes hilarants et absurdes de la saison 1 semblent appartenir à une autre série, ou du moins à un autre âge. Ce bouclage, il m’a souvent fait sourire tellement il est plein d’ironie. D’abord, comme c’est étrange qu’Astier mette un point final à Kaamelott version télé avec un épisode qui porte le titre de ce qui a été son ébauche : Dies Irae. Ensuite, ce titre, jour de colère… il colle parfaitement à cet Arthur christique qui gît là parce qu’il n’arrive ni à vivre, ni à...
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