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203 : Scan

Moui… moui… Un poil plus convaincant que le précédent, mais beaucoup de nawak… Et beaucoup, beaucoup trop d’anciens personnages qui refont surface. Clairement, ils auraient mieux fait de se concentrer sur deux ou trois intrigues (qui finiront certes par se rejoindre) au lieu de partir sur soixante pistes différentes…

Décidément, Mahone, j’adore. J’adore sa gueule impossible, taillée à coups de serpe. Cette dégaine de croque-mort qui n’a jamais appris à sourire, et en même temps, l’intelligence du limier placardée sur la bobine. Bref, un très bon personnage, qu’ils nous ont collés là. Limite il ne serait là que pour décorer, ce serait déjà très bien…

Moui… moui… Un poil plus convaincant que le précédent, mais beaucoup de nawak… Et beaucoup, beaucoup trop d’anciens personnages qui refont surface. Clairement, ils auraient mieux fait de se concentrer sur deux ou trois intrigues (qui finiront certes par se rejoindre) au lieu de partir sur soixante pistes différentes… Décidément, Mahone, j’adore. J’adore sa gueule impossible, taillée à coups de serpe. Cette dégaine de croque-mort qui n’a jamais appris à sourire, et en même temps, l’intelligence du limier placardée sur la bobine. Bref, un très bon personnage, qu’ils nous ont collés là. Limite il ne serait là que pour décorer, ce serait déjà très...

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Posted by on Sep 7, 2006 in Prison Break | 11 comments

102 : The First Cut is the Deepest

Bon, j’ai regardé le deuxième épisode. J’ai eu quelques surprises agréables. Notamment en voyant Meregourde et McDreamy se sauter sur le râble au premier ascenseur qui passe.

Dans n’importe quelle série à la mords-moi-le-noeud, ça n’aurait pas été le cas. On les aurait regardés pendant trois cents quatre-vingt douze épisodes se mater d’un oeil de cocker, on aurait assisté à huit cents cinquante trois « Il est mort, Vernon » plein de sanglots, bref, on nous aurait fait tourner en bourrique, quoi. Là, effectivement, malgré la main qui me démange de distribuer les paires de claques, y a pas ce côté soap insupportable où ça conclue sur un lit de roses avec plein de bougies autour et la robe du soir qui s’étale au pied du lit. Bref. Ca, ça va.

Bon, j’ai regardé le deuxième épisode. J’ai eu quelques surprises agréables. Notamment en voyant Meregourde et McDreamy se sauter sur le râble au premier ascenseur qui passe. Dans n’importe quelle série à la mords-moi-le-noeud, ça n’aurait pas été le cas. On les aurait regardés pendant trois cents quatre-vingt douze épisodes se mater d’un oeil de cocker, on aurait assisté à huit cents cinquante trois « Il est mort, Vernon » plein de sanglots, bref, on nous aurait fait tourner en bourrique, quoi. Là, effectivement, malgré la main qui me démange de distribuer les paires de claques, y a pas ce côté soap insupportable où ça conclue sur un lit de roses avec plein de bougies autour et la robe du soir qui s’étale au pied du lit. Bref. Ca, ça...

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Posted by on Sep 7, 2006 in Grey's Anatomy | 10 comments

101 : A hard day’s night

Ca y est, j’ai enfin regardé le premier épisode…

Alors… euh… Déjà, première réaction très forte.

Iiiiiiik !!!

Au bout de deux secondes, je déteste le personnage principal. C’est physique, y a rien à y faire, elle me sort par les yeux, cette Meredith. Je la trouve affreuse, mais pas affreuse dans le sens moche, affreuse dans le sens beuark, ne m’approchez pas, madame…

Ca y est, j’ai enfin regardé le premier épisode… Alors… euh… Déjà, première réaction très forte. Iiiiiiik !!! Au bout de deux secondes, je déteste le personnage principal. C’est physique, y a rien à y faire, elle me sort par les yeux, cette Meredith. Je la trouve affreuse, mais pas affreuse dans le sens moche, affreuse dans le sens beuark, ne m’approchez pas,...

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Posted by on Sep 5, 2006 in Grey's Anatomy | 32 comments

Studio 60 on the Sunset Strip

Trois jours quand même pour réussir à venir à bout du pilote de la nouvelle série d’Aaron Sorkin, le créateur de the West Wing.

Du bon et du pas bon, là-dedans, à mon sens.

Le pas bon :

– Grossière erreur, on commence par du très très fort, avec une rebellion en live. Menacé de voir son émission satirique censurée, un producteur (?) prend la parole en direct, prend le téléspectateur en otage et se met à casser tous azimuts la société de merde qui l’empêche de faire son travail.

Trois jours quand même pour réussir à venir à bout du pilote de la nouvelle série d’Aaron Sorkin, le créateur de the West Wing. Du bon et du pas bon, là-dedans, à mon sens. Le pas bon : – Grossière erreur, on commence par du très très fort, avec une rebellion en live. Menacé de voir son émission satirique censurée, un producteur (?) prend la parole en direct, prend le téléspectateur en otage et se met à casser tous azimuts la société de merde qui l’empêche de faire son...

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Posted by on Sep 4, 2006 in Fourre-tout | 5 comments

Samson et Dalila

Gaza, la Palestine… Mille ans avant le ptit Jésus, quand même. Et déjà, ça fracassait grave entre peuples. Là, c’est les Danites (une des douze tribus d’Israël, pour ceux qui l’ignoreraient) et les Philistins. A ma droite, Samson, plutôt beau gosse, plutôt gentil, limite benêt… Et surtout gros costaud. A ma gauche, des gonzesses de l’autre camp qui l’entortillent à qui mieux mieux.

Bon, j’adore ce vieux film. C’est signé Cecil B. de Mille, c’est kitsch à mort, c’est joué façon Sarah Bernhard, y a de la dorure partout, c’est clinquant comme pas possible, mais c’est sublime. A regarder en VF parce que les voix sont superbes, surtout celles des femmes, rauques, sexy en diable, le débit, les intonations… C’est limite meilleur qu’en VO. Ces doublages des années 40 et 50 sont des splendeurs…

Gaza, la Palestine… Mille ans avant le ptit Jésus, quand même. Et déjà, ça fracassait grave entre peuples. Là, c’est les Danites (une des douze tribus d’Israël, pour ceux qui l’ignoreraient) et les Philistins. A ma droite, Samson, plutôt beau gosse, plutôt gentil, limite benêt… Et surtout gros costaud. A ma gauche, des gonzesses de l’autre camp qui l’entortillent à qui mieux mieux. Bon, j’adore ce vieux film. C’est signé Cecil B. de Mille, c’est kitsch à mort, c’est joué façon Sarah Bernhard, y a de la dorure partout, c’est clinquant comme pas possible, mais c’est sublime. A regarder en VF parce que les voix sont superbes, surtout celles des femmes, rauques, sexy en diable, le débit, les intonations… C’est limite meilleur qu’en VO. Ces doublages des années 40 et 50 sont des...

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Posted by on Sep 3, 2006 in DVD, cinéma, et autres... | 6 comments

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