Réplique du jour
« Hello, sweetie ! »
(Dr River Song, Doctor Who)
« Hello, sweetie ! » (Dr River Song, Doctor...
La Suite« Hello, sweetie ! »
(Dr River Song, Doctor Who)
« Hello, sweetie ! » (Dr River Song, Doctor...
La SuiteOh mon Dieu, je suis encore totalement sous le choc ! Mais totalement ! Et il paraît que j’étais censée bosser aujourd’hui, mais COMMENT voulez-vous dormir, manger, bosser, EXISTER, même, après un truc pareil ??? Tenez, j’en hurle encore. Une fois de plus, quelle intro ! Le décor sublime est toujours aussi bien exploité, si ce n’est encore mieux, et j’adooooore Mark Sheppard quand il joue les méchants. Encore plus quand il joue les faux méchants. Même si sur le coup… What the frak, Romo, why are you FRAKKIN KILLING THEM ALL ??? Oh, la sortie de River… River : There’s always a way out. Et le pauvre Docteur, hirsute, qui voit arriver les corps dans des sacs et qu’on prétend enfermer dans cette vilaine prison en Zone 51 ! (Ca va, Moffat ? Zone 51, tranquillou ?) Bref, une intro ultra efficace avec un Canton impérial dont l’objectif est d’enfumer tout le monde et de préparer avec le Docteur et ses comparses une véritable révolution ! Six minutes d’épisode. Vous êtes déjà réduit à l’état...
La Suite??tant donné que je suis partie en Corse ce week-end et que je n’ai pas encore vu Doctor Who, je poste ce petit billet insignifiant.
Ok, Glee est – à mon sens – tombé à un niveau de qualité absolument désolant et le début de la saison 1, rigolote et entraînante paraît bien loin. Désormais, pour moi, c’est la série idéale pendant que j’épluche mes patates. Voire mes navets. (Enfin, si je bouffais des navets parce que franchement, c’est un peu dégueu, les navets.)
??tant donné que je suis partie en Corse ce week-end et que je n’ai pas encore vu Doctor Who, je poste ce petit billet insignifiant. Ok, Glee est – à mon sens – tombé à un niveau de qualité absolument désolant et le début de la saison 1, rigolote et entraînante paraît bien loin. Désormais, pour moi, c’est la série idéale pendant que j’épluche mes patates. Voire mes navets. (Enfin, si je bouffais des navets parce que franchement, c’est un peu dégueu, les...
La SuiteLa semaine dernière, j’ai eu la chance de passer d’assez bons moments devant des séries qui depuis quelques mois me laissaient chaque semaine un sentiment plutôt tiède (voire franchement glacé). Big Bang en fait partie. Cela arrive un peu tard (un peu tard pour la saison, TRES tard pour le héros) mais notre Sheldon – outre le fait hilarant de trépigner devant chez Penny pour aller pisser un coup parce que Leonard et sa greluche squattent la salle de bains – se fait enfin embrasser. De force, évidemment. (Il en oublie même le bisouillage de la mère de Leo, au passage.) Et en guise de préliminaires, il se fend avec son Amy d’un numéro de danse tout à fait ébouriffant !
La semaine dernière, j’ai eu la chance de passer d’assez bons moments devant des séries qui depuis quelques mois me laissaient chaque semaine un sentiment plutôt tiède (voire franchement glacé). Big Bang en fait partie. Cela arrive un peu tard (un peu tard pour la saison, TRES tard pour le héros) mais notre Sheldon – outre le fait hilarant de trépigner devant chez Penny pour aller pisser un coup parce que Leonard et sa greluche squattent la salle de bains – se fait enfin embrasser. De force, évidemment. (Il en oublie même le bisouillage de la mère de Leo, au passage.) Et en guise de préliminaires, il se fend avec son Amy d’un numéro de danse tout à fait...
La SuitePas un épisode franchement inoubliable, à mon sens. La preuve, c’est que deux semaines plus tard, je n’en retiens pas grand-chose. Fringe fait du Fringe et le fait plutôt bien, comme souvent, en prenant les lois de la physique (oh, gravity, thou art a heartless bitch) et en élaborant autour un scénario « et si ? ». J’aime bien ce genre d’épisodes, mais c’est vrai qu’une fois vus, ils se mélangent un peu tous. Ici, ce qui est sympa, c’est que l’intrigue « humaine » est vraiment poignante et surtout, elle est tenue à bout de bras par un super guest, Alan Ruck, une tête bien connue. Ouaip, il a été commandant de l’Enterprise, ce monsieur, jamais je ne pourrai l’oublier. Ok, il a manqué de le flanquer dans le décor le jour même de son inauguration, mais bon. (Pour ceux que ça intéresse, c’était dans « Generations » et c’était pas super glorieux !) Il me souvient aussi l’avoir vu dans Stargate Atlantis, du temps où je regardais la série. Enfin bref, très bon...
La SuiteAutant vous le dire, The Good Wife, c’est Bien. Pas juste bien, non, Bien.
Il y aurait beaucoup à dire, analyser, décortiquer. Les personnages sont ultra léchés, l’évolution lente mais violente, bref c’est un régal. Et la baisse d’intensité que l’on aurait pu craindre pour la saison deux n’a pas eu lieu, loin de là. On pourrait faire tout ça, mais en fait je vais juste parler d’un truc qui m’a fait marrer.
Autant vous le dire, The Good Wife, c’est Bien. Pas juste bien, non, Bien. Il y aurait beaucoup à dire, analyser, décortiquer. Les personnages sont ultra léchés, l’évolution lente mais violente, bref c’est un régal. Et la baisse d’intensité que l’on aurait pu craindre pour la saison deux n’a pas eu lieu, loin de là. On pourrait faire tout ça, mais en fait je vais juste parler d’un truc qui m’a fait marrer. Parce que, plus que tout cela, The Good Wife, c’est rempli de pépites. Et la dernière, impossible de ne pas la partager avec vous. Dans le rôle du juge Abernathy, vous reconnaissez notre bien-aimé Russell-le-vampire. Et voilà-t-y pas que notre bon ami déboule au tribunal en faisant, je vous le donne en mille…. de la pub pour le don du sang!! « Before we begin today, I want to remind everybody about the – bambabadam – blood drive. I don’t want to hand down any declarations, but blood supplies are low, so I leave it to you...
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