Doctor Who
Ah oui et à propos de Harry Potter…
Je n’ai pas été loin de me dire, devant le quatrième volet, que quelque part, Doctor Ten met un peu sa race à Edward Cullen.
En fait, j’ai compris…
Ils font pousser une deuxième Karen Gillan au cas où il y aurait un problème avec la première. Qu’ils sont smarts, ces Britons !
Je crois que la dernière fois que ça m’a frappée à ce point, c’était dans « Braveheart », le gamin qui joue William Wallace enfant, c’était spectaculaire. Là, regardez les traits. A par la couleur des yeux, tout est pareil. Le nez, la bouche, les sourcils, le menton. Ok, c’est sa cousine, mais quand même, des cousines, ça ne se ressemble pas FORCEMENT à ce point !
Pffff pffff…
Non non, elle est toujours en vie, je vous rassure !
Très débordée, mais bien là.
Donc sur les conseils des autres gonzesses soupirantes (on est toutes pareilles ou bien ?), j’ai regardé l’adaptation de « Sense and sensibility » (Jane Austen, messieurs, vous ne pouvez pas comprendre) par la Beeb… et OH !!! Mais c’était vachement vachement bien ! Je suis une fan acharnée de la version d’Ang Lee avec la Thompson, la Winslet, les divers Hugh etc etc, mais c’était quand même vachement vachement bien !
Ce cast très frais et tout jeunot, dé-li-cieux. Et très joliment réalisé. Le soin qu’on sent dans l’image, dans les objets, les costumes, l’amour avec lequel les paysages sont filmés… voilà qui fleure bon sa BBC des grands jours.
Bonjouuuuur ! Vous mé léconnaissez ??
Mais ouiiii, c’est moi, la plus piteuse blogueuse du monde ! Trop occupée à regarder la fin de Fringe en loucedé, à attendre ses prochaines vacances et à regarder Orgueil et préjugés en boucle (en pleurnichant comme il se doit).
A ce propos d’ailleurs, entre deux « bouhouhouh, salope de Jane Austen », j’ai bien évidemment joué au jeu du Kicéki (kajouédansDoctorWho) parce que dans un film briton, c’est un peu pas possible d’y couper. Alors pour vous, j’ai trouvé :
Oh mon DIEU, le rêêêêve !!! :-D
Si vous n’avez pas vu la fin de l’épisode 505 de Doctor Who, surtout ne cliquez pas !
505 : Flesh and stone
Donc lorsque j’ai laissé mon Doctor et ses petits camarades il y a de ça quatre mois (quatre mois, Sweet Djizeusse, mais où sont-ils passés, ceux-là ?), ils étaient en train de sauter. Ca fait long, un saut de quatre mois, me direz-vous, sauf qu’avec le Docteur, tout est possible.
Pourquoi ces quatre mois ? Eh bien parce que cet épisode m’a laissée plus que perplexe. Il y a certains éléments que j’ai adorés. D’autres qui m’ont légèrement gavée. Du coup, je n’arrive pas à me faire une opinion, c’est terrible. Et je sens qu’il faudrait que j’adoooOOOooore ce double épisode mais j’ai beau me forcer, pas possible.
Déjà, il y a des détails techniques que je ne comprends pas, ce doit être à force de fréquenter Arthur Pendragon, mon crâne s’est épaissi et refuse d’intégrer certains trucs genre… quand ils sautent, paf, ils se retrouvent pendus au plafond. Blablablabla « artificial gravity », rien entravé ! C’est très joli, très décoratif, c’est totalement farfelu comme il se doit… eh ben ça m’a contrariée.