Doctor Who
511 : The lodger
Tiens mais c’est marrant, cet épisode m’avait plus plu la première fois. Là, sans m’ennuyer, je ne l’ai pas trouvé exceptionnel et à vrai dire je n’ai pas énormément de choses à dire dessus. C’est un épisode très honnête avec une histoire très cool de vaisseau et de pilote, avec ses moments un peu flippants, ses moments tendres et ses moments drôles. Et surtout, il fait la part belle à un Docteur très en forme même si une fois de plus, je trouve qu’il s’en sort bien, qu’il finit l’épisode avec tout le monde à ses pieds et voilà. Je trouve que ce Docteur a la belle vie, personnellement ! Il va falloir envisager de lui apporter un peu de gravité parce qu’avec ses yeux de bon toutou, il est bien sympa mais voilà.
510 : Vincent and the Doctor
Roooh, j’ai adoré cet épisode. Et pourtant, les épisodes « célébrités », j’ai parfois du mal. Souvent, même. Mais là, là… c’est vrai, ça me cause, j’ai visité la maison où est mort Van Gogh, à Auvers-sur-Oise, sa petite chambrette… et ça m’avait déjà beaucoup émue. Je suis du genre à hurler « nooooon, nooooon, je veux resteeeeer » quand je visite des maisons d’artistes que j’aime. Et je n’ai pas oublié le ravissement qui m’a saisie devant les tableaux de Vincent au MoMa au printemps. (J’ai passé une heure et demie à dire : « Et c’est où, Van Gogh ? » Pure fixette, faut pas chercher.)
509 : Cold blood
« This is the story of our planet. Earth. Of the day a thousand years past when when we came to share it with the race known as humanity. It is the story of the Doctor, who helped our races find common ground, and the terrible losses he suffered. It is the story of our past, and must never be forgotten.«
508 : The hungry Earth
Tiens mais c’est marrant comme je peine sur cette saison, quand même. Et sans arriver à vraiment mettre le doigt sur ce qui me dérange. Est-ce que la série souffre à mes yeux du syndrome du nouveau départ, est-ce un flottement dû à la redistribution des cartes ? Je ne sais pas. Matt Smith est très bon, plus doctoresque, tu meurs, Karen Gillan est parfaite, Arthur Darvill me fait le même effet qu’un gros panier rempli de chatons et les intrigues sont plutôt solides, avec ici, par exemple, des personnages secondaires intéressants et assez sympathiques. Mais je peine, je peine. Je ne m’ennuie pas vraiment mais je peine. Là, ça me fait l’effet de plein de scènes plutôt cool mises bout à bout. L’ensemble est donc très sympa, mais pas bouleversifiant ni mythique. Dure dure, cette transition, dur de réinstaller une dynamique en repartant de zéro ou presque, dur de mobiliser une fan aussi enragée que moi-même.
507 : Amy’s choice
Ces derniers temps, c’était comme si l’Univers entier me criait que je devais me remettre à Doctor Who. (Et non, je ne parle pas de vous étant donné que je ne vous écoute pas. )
D’abord, je me suis autoproclamée Dream Lady parce que récemment, j’ai encore fait un rêve tout zarbi où je me retrouvais sans passeport et sans fric dans un pays étranger. Et après m’être speedé la gueule pendant quelques minutes, je me suis dit, dans mon rêve : « Attends, pourquoi tu te prends le chou, exactement, vu que c’est qu’un con de R??VE ??? » Et là, je me suis réveillée.
506 : The vampires of Venice
Voici un épisode qui dans un premier temps m’a beaucoup contrariée. Et qui ensuite m’a beaucoup amusée. Etant une fan enragée de la relation Docteur/Pineco du moment (ce qui m’a valu quelque désappointement en saison 3), je ne SUPPORTE pas qu’on introduise un troisième larron dans le sacrosaint duo. Exception faite de Captain Jack. (Qui a le droit à toutes les exceptions, d’ailleurs.)
Le petit copain de Rose ramassé dans le musée de la saison 1 puis Mickey qu’on se traîne comme un boulet pendant des épisodes et des épisodes, à l’époque ça m’avait exaspérée. Bon, après j’en étais revenue à de plus amènes considérations, mais sur le coup, uurgh.
Donc là, réflexe de Pavlov, vite haïssons Rory.
Sauf que c’est parfaitement impossible. J’ai tenu bon pendant cet épisode en m’accrochant à mes vieilles habitudes mais il se trouve qu’entretemps, j’ai vu toute la saison 5 et que je suis devenue raide dingue de Rory. Forcément, en revoyant cet épisode, impossible de ne pas me dire que j’ai été bête à manger du foin. D’ailleurs, tenez, moi, Rory je l’épouse tout de suite, s’il veut !