Doctor Who
La devinette du jour…
Tiens, j’ai regardé Christmas Invasion (ce qui n’aide pas quand on a déjà du sommeil en retard), et attention, je ne suis pas TOTALEMENT convaincue. Mais… le nouveau Docteur m’a eue. A vous de deviner avec quelle réplique.
(Oui, je suis comme ça, moi. Une réplique et paf.)
113 : The parting of the ways
(Le Docteur est mort, vive le Docteur.)
Je vous demande la plus grande indulgence pour ce billet. Hein ? C’pas facile. *snifl*
Mon dernier billet de Doctor Who avec le grand Christopher Eccleston. *beuheuh*
Bon, je dois bien reconnaître que la récupération express de la Rose m’a laissée bouche bée. Ptain, ça c’est de l’efficacité, dites donc.
Pour commencer, les Daleks et leur Empereur. Wow, sacrément dérangé, ce gars-là. Mais la conversation qu’il a avec le Docteur est génialissime.
Ceci deviendra un jour une review…
En attendant, je viens de finir la saison 1, j’ai pleuré comme une madeleine, mais étonnamment, à la fin, j’ai ri.
Mais bon…
112 : Bad wolf
Hanlala, ce que cette série m’inflige, c’est juste pas descriptible. Déjà, un épisode « télé-réalité », d’office, ça ne peut que me plaire. Surtout vu la manière dont c’est présenté. Tout commence avec des « ahahah », trop bon le loft du futur !
(Et le Docteur au confessionnal !!! )
Et puis, mort de rire le Maillon Faible (avec grave la voix de la nana qui présente le truc en Grande-Bretagne) et l’Anne-Droïde.
Enfin, à hurler de rire la formule Makeover, d’autant que les deux robotes se retrouvent avec celui auquel il ne faut surtout pas toucher, à savoir Captain Jack qui est déjà parfait comme il est.
111 : Boom town
Oh, ptain, la consternation quand j’ai capté que cet épisode, c’était le retour des infâmes Slitheens ! Je vous dis pas. Surtout après le superbe arc précédent, et surtout en voyant arriver la fin de la saison et avec elle la fin de MON Docteur à moi que j’ai. Sur le coup, je me suis dit que ces cons allaient me gâcher l’un des trois derniers épisodes de Chris Eccleston en retournant dans le Londres Cardiff d’aujourd’hui. Eh ben finalement, pas tant que ça.
107 : The long game
Ah, Rose.
Je t’aime beaucoup, Rose.
Mais des fois, tu es un peu une sacrée coquine.
Voilà donc que la Rose s’est trouvée un compaing en 2012 et qu’elle l’embarque avec elle à bord du Tardis. C’est quand même un poil gonflé.
(Voire inconscient. La péronnelle ne voit donc pas qu’elle a TOUT ce qu’il lui faut à bord de ce mirifique vaisseau ?)
Enfin bref, vite, vite, l’occasion pour le Docteur de dire quelque méchancetés sur son nouveau pensionnaire, surtout que celui-ci, comme par hasard, commence par se montrer relativement inadapté.