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404 : If there’s anything that I can’t stand

Oh que c’était drôle, tout ça ! Mention spéciale à Susâne qui était encore dans un très grand jour. Pour moi, la réplique qui tue, c’est lorsque le nouveau voisin gay lui présente son « partner » et que cette formidable ingénue lui répond un extatique : « What kind of business ? »

Vingt minutes pour m’en remettre. Eux aussi.

Ensuite, ma foi, c’est du Susan Mayer. Comment ? Quoi ? Qu’est-ce donc ? Ces gens prétendent ne pas m’aimer ? Mais il faut y remédier et plus vite que ça. Sous le regard tendrement désespéré de son mari et de sa fille.

Oh que c’était drôle, tout ça ! Mention spéciale à Susâne qui était encore dans un très grand jour. Pour moi, la réplique qui tue, c’est lorsque le nouveau voisin gay lui présente son « partner » et que cette formidable ingénue lui répond un extatique : « What kind of business ? » Vingt minutes pour m’en remettre. Eux aussi. Ensuite, ma foi, c’est du Susan Mayer. Comment ? Quoi ? Qu’est-ce donc ? Ces gens prétendent ne pas m’aimer ? Mais il faut y remédier et plus vite que ça. Sous le regard tendrement désespéré de son mari et de sa...

La Suite

Posted by on Oct 22, 2007 in Desperate Housewives | 10 comments

521 : Gaza

Ahimè ! Mon pauvre Josh ! Ma pauvre Donna !

Oui, enfin, ne nous apitoyons pas trop vite, même s’il est tentant de pleurer sur le sort du formidable Josh Lyman (et de son QI à peu près aussi grand que le Brésil).

Bon, je saute commodément les deux épisodes précédents, pas inoubliables, surtout quand ça fait quand même presque six saisons qu’on suit les aventures de la petite maison blanche dans la prairie. C’est vrai, une fois qu’on a vu une crise, on les a toutes vues. C’est comme bosser aux infos, quand vous avez vu un attentat, vous les avez tous vus… excepté quelques 11 septembre de temps en temps. Et là, en l’occurence, dans la série, excepté lorsqu’ils frappent directement l’un de nos personnages bien aimés.

Ahimè ! Mon pauvre Josh ! Ma pauvre Donna ! Oui, enfin, ne nous apitoyons pas trop vite, même s’il est tentant de pleurer sur le sort du formidable Josh Lyman (et de son QI à peu près aussi grand que le Brésil). Bon, je saute commodément les deux épisodes précédents, pas inoubliables, surtout quand ça fait quand même presque six saisons qu’on suit les aventures de la petite maison blanche dans la prairie. C’est vrai, une fois qu’on a vu une crise, on les a toutes vues. C’est comme bosser aux infos, quand vous avez vu un attentat, vous les avez tous vus… excepté quelques 11 septembre de temps en temps. Et là, en l’occurence, dans la série, excepté lorsqu’ils frappent directement l’un de nos personnages bien...

La Suite

Posted by on Oct 21, 2007 in The West Wing | 5 comments

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