206 : Out of time
Ce qui est en train de se produire avec Heroes dépasse la compréhension. Non, vraiment, je ne comprends pas, c’est rageant. Cette série a pourtant tout pour elle ! Des acteurs plutôt pas dégueus, dont quelques uns carrément beaux gosses, une histoire qui devrait tout péter, une science du cliffhanger à faire pâlir d’envie Jack Bauer. Mais non. Les personnages sont de plus en plus ennuyeux (mais où est passé LE Nathan Petrelli ? Comment osent-ils faire d’Adrian Pasdar ce machin transparent et geignard ?) et les épisodes traînent en longueur malgré des révélations et des twists qui devraient nous faire sauter par la fenêtre. Et certains ressorts utilisés sont vraiment pathétiques. Notamment le coup de la destruction de New York. Car oui, braves gens, vous n’imaginerez jamais, après la bombe, ce qui menace cette cité de savoir et de lumière… le virus destructeur, bien sûr.
Ah ben ça, vraiment, on n’y aurait jamais pensé.
Ce qui est en train de se produire avec Heroes dépasse la compréhension. Non, vraiment, je ne comprends pas, c’est rageant. Cette série a pourtant tout pour elle ! Des acteurs plutôt pas dégueus, dont quelques uns carrément beaux gosses, une histoire qui devrait tout péter, une science du cliffhanger à faire pâlir d’envie Jack Bauer. Mais non. Les personnages sont de plus en plus ennuyeux (mais où est passé LE Nathan Petrelli ? Comment osent-ils faire d’Adrian Pasdar ce machin transparent et geignard ?) et les épisodes traînent en longueur malgré des révélations et des twists qui devraient nous faire sauter par la fenêtre. Et certains ressorts utilisés sont vraiment pathétiques. Notamment le coup de la destruction de New York. Car oui, braves gens, vous n’imaginerez jamais, après la bombe, ce qui menace cette cité de savoir et de lumière… le virus destructeur, bien sûr. Ah ben ça, vraiment, on n’y aurait jamais...
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