« You want to emphatically deny something you have no problem with and make it publically clear this is a private matter. »
(Annabeth Schott, The West Wing)
« You want to emphatically deny something you have no problem with and make it publically clear this is a private matter. » (Annabeth Schott, The West...
La SuiteVentrebleu ! 
Quel épisode de ouf !
C’est dur, très très dur… Et pourtant il y a de grands moments de jubilation, là-dedans. Enorme transition pour Josh, notamment, qui en l’espace de quelques heures, perd une assistante et gagne un candidat. Entre autres.
En voyant le début de l’épisode où Josh et Donna prennent le petit dej’ sans se parler juste en chantonnant comme un vieux couple marié, j’ai tout de suite compris que ça allait splitter assez rapidement.
Ventrebleu ! Quel épisode de ouf ! C’est dur, très très dur… Et pourtant il y a de grands moments de jubilation, là-dedans. Enorme transition pour Josh, notamment, qui en l’espace de quelques heures, perd une assistante et gagne un candidat. Entre autres. En voyant le début de l’épisode où Josh et Donna prennent le petit dej’ sans se parler juste en chantonnant comme un vieux couple marié, j’ai tout de suite compris que ça allait splitter assez...
La Suite« Rest in peace, bitch ! »
(Claire Meade, Ugly Betty)
« Rest in peace, bitch ! » (Claire Meade, Ugly...
La SuiteRoooh, ce que c’est bien foutu, quand même. Quand je pense que cette série avait tout pour ressembler à une bluette ridicule et bourrée de clichés… et qu’ils arrivent à la fois à nous faire marrer et à nous émouvoir de semaine en semaine, c’est quand même admirable. Quel exercice difficile, quand on est Ugly Betty, de ne pas tomber dans la facilité et le pathétique.
Pour ça, ils ont vraiment trouvé la recette au poil. Ajoutez une pincée d’humour gras et on verse dans le mauvais goût populeux. Ajoutez un zeste de mélo et paf, nous vlà dans la soupière avec Le destin de Lisa. Bref, un vrai boulot d’équilibriste.
Roooh, ce que c’est bien foutu, quand même. Quand je pense que cette série avait tout pour ressembler à une bluette ridicule et bourrée de clichés… et qu’ils arrivent à la fois à nous faire marrer et à nous émouvoir de semaine en semaine, c’est quand même admirable. Quel exercice difficile, quand on est Ugly Betty, de ne pas tomber dans la facilité et le pathétique. Pour ça, ils ont vraiment trouvé la recette au poil. Ajoutez une pincée d’humour gras et on verse dans le mauvais goût populeux. Ajoutez un zeste de mélo et paf, nous vlà dans la soupière avec Le destin de Lisa. Bref, un vrai boulot...
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