Humeur du jour
Mais euh !
(Attention, pas de spoilers dans les comms. Du tout.)
Mais euh ! (Attention, pas de spoilers dans les comms. Du...
La SuiteMais euh !
(Attention, pas de spoilers dans les comms. Du tout.)
Mais euh ! (Attention, pas de spoilers dans les comms. Du...
La SuiteJ’aurais bien aimé que quelqu’un me prévienne que ce n’était pas la peine que je regarde le final de Torchwood…
(Spoilers dans les comms, dernier épisode de la saison 2… Et dernier épisode tout court en ce qui me concerne.)
J’aurais bien aimé que quelqu’un me prévienne que ce n’était pas la peine que je regarde le final de Torchwood… (Spoilers dans les comms, dernier épisode de la saison 2… Et dernier épisode tout court en ce qui me...
La Suite« King of the Weevils, remember ? »
(Owen Harper, Torchwood)
« King of the Weevils, remember ? » (Owen Harper,...
La SuiteJe sais que j’aurais mieux fait d’attendre d’avoir posté ma review sur le season premiere, mais… Bref, vous verrez bien. Moi, j’adore. Uh uh uh.
A vos risques et périls si vous n’avez pas vu le 401…
Je sais que j’aurais mieux fait d’attendre d’avoir posté ma review sur le season premiere, mais… Bref, vous verrez bien. Moi, j’adore. Uh uh uh. A vos risques et périls si vous n’avez pas vu le...
La SuiteEh bien voilà, nous y sommes. Après m’être réveillée à quatre heures du mat’ en sursaut (« non, ce n’est pas encore l’heure, tu peux te rendormir »), déniché le bazar, lancé le bouzin, dézippé le truc, je me suis retrouvée comme une poule devant un couteau. « Tiens ! Si je rangeais les captures d’écran de « Voyage of the damned » ! Tiens, et si j’en profitais pour nettoyer le bureau de Bill ! »
C’est fou ce qu’on peut trouver comme excuses pour reculer encore l’échéance fatale. Jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rien à faire. C’est parti mon kiki. Avec la bloblote qui va bien parce que merde, ça fait un an qu’on attend ça, qu’on le fantasme, ce premier épisode. Au point de se faire du mal, d’ailleurs.
Eh bien voilà, nous y sommes. Après m’être réveillée à quatre heures du mat’ en sursaut (« non, ce n’est pas encore l’heure, tu peux te rendormir »), déniché le bazar, lancé le bouzin, dézippé le truc, je me suis retrouvée comme une poule devant un couteau. « Tiens ! Si je rangeais les captures d’écran de « Voyage of the damned » ! Tiens, et si j’en profitais pour nettoyer le bureau de Bill ! » C’est fou ce qu’on peut trouver comme excuses pour reculer encore l’échéance fatale. Jusqu’à ce qu’il n’y ait plus rien à faire. C’est parti mon kiki. Avec la bloblote qui va bien parce que merde, ça fait un an qu’on attend ça, qu’on le fantasme, ce premier épisode. Au point de se faire du mal,...
La Suite